Cafephilos › Forums › Les cafés philo › Pensées critiques, anti-covid et anti conspirationnistes de la gestion du Covid. › 100 000 morts du Covid ? Comment Santé Publique France a cumulé tous les morts pour les annoncer Covid. Pierre Chaillot (Décoder l’eco)
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19 août 2021 à 22h14 #6062100 000 morts du Covid annoncés par Santé Publique France, contre 750 000 morts d’autres causes
Retrouver la démonstration de Pierre Chaillot (Décoder l’eco) 100 000 morts vraiment ? IciMa prise de notes de son intervention
– Ces 100 000 morts sont les chiffres cumulés des morts du covid dans les hôpitaux et les Ehpad selon Santé Publique France au 16 avril 2021.
Or durant la même période, 750 000 personnes sont mortes pour d’autres causes (cancer, maladies cardiaques, avc, thromboses, suicides, accidents, etc.)
Dans les faits, Il meurt en moyenne 952 personnes par jour à l’hôpital. Illustration ci-dessous.Illustration : Il meurt en moyenne 951 personnes par jour à l’hôpital
Il apparait, lorsqu’on analyse les chiffres (voir la vidéo), que 17% des patients décèdent le premier jour de leur arrivée à l’hôpital. Soit un total de 2987 décès par jour. Ils sont donc arrivés trop tard, faute de soin. Ils ont attendu que la maladie s’aggrave avant d’appeler le 15. Comparativement à d’autres périodes et infections à des coronavirus, il s’avère que si on n’avait pas interdit les traitements (antibiotiques) et la médecine de ville de traiter, il n’y aurait pas eu d’excès de mortalité.
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Les mêmes constats peuvent être faits dans les Ehpad. On remarque que tous les décès dans les Ehpad sont attribués au Covid, soit, 26 104 décès, alors que les personnes âgées meurent pour d’autres raisons également. Après correction des données, il y aurait eu 16 775 morts du covid, soit près de 10 000 de moins que ceux annoncés. Il serait nécessaire d’enquêter sur les raisons effectives des décès.Illustration 26 104 décès Covid annoncés, au lieu de 16 775. Une enquête devrait être diligentée sur les causes effectives des décès, mais ce n’est pas le cas.
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Ci-dessous, le schéma porte sur les morts à domicile. L’annonce des morts répond du même modèle : toutes les surmortalités sont attribuées à la Covid, soit : 23 247 décès. Dans les faits, on n’a plus soigné aucune maladie à cause du covid, et on demandait aux personnes avec des symptômes, de rester chez elles. Les hôpitaux enregistrent 4800 demandent de soin en moins que l’année précédente sur la même période. Ce chiffre correspond quasiment à la surmortalité réelle qui a eu lieu durant cette année covid.
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Enfin, notons que la prescription de médicaments a enregistré des tendances inhabituelles durant cette année covid. Baisse drastique de la prescription des antibiotiques pour les maladies respiratoires et, par ailleurs, prescription record enregistrée pour du valium et du rivotril (sédatif puissant, généralement prescrit pour les fins de vie). Or ces médicaments sont « mortels » lorsqu’ils sont associés à une détresse respiratoire, l’un des symptômes de la Covid quand il entre en phase d’aggravation.
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Conclusion :
Si l’on fait le total de la surmortalité annoncée, on tombe bien sur 100 00 morts. Pourtant, on constate que toute cette surmortalité est annoncée Covid, or les gens, comme pour les autres années, sont morts également pour d’autres raisons, notamment pour les 650 000 autres décès. Si l’on retranche aux 100 000 morts ceux qui seraient décédés pour d’autres causes (ceux non soignés pour leur pathologie habituelle + ceux non soignés du Covid + ceux mal soignés (rivotril, valium), on obtient un total de 60 000 fausses attributions de décès covid. Il ressort que le gouvernement se rend coupable de « crimes » ou de « mauvais traitements » par les choix qu’il a fait de « confiner » les populations, de les laisser sans soin, d’interdire les médecins de prescrire, d’interdire l’usage des antibiotiques et des antiviraux.
La presse, quant à elle, se rend coupable par complicité, par absence de capacité critique, voire par négation, en relayant toutes les critiques de la gestion du gouvernement comme provenant d’une sphère « complotiste et/ou antivax ». Voir ici cet article du Le Monde dans la rubrique « Les Décodeurs », publié le 18 aout. Faux décès, chiffres mal interprétés : comment les antivaccins sèment le doute sur les effets secondaires -
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