De quelle colère et de quelle assurance est la philosophie ? (G. Deleuze, extrait de texte) sujet pour lundi 16.08.2021

[René]

De quelle colère et de quelle assurance est la philosophie ?
La question n’est ici qu’un prétexte à notre débat, une manière de nous introduire à une pensée de Gilles Deleuze
> On profite du beau temps pour nous rencontrer sur le parvis de la Mairie (donc, face à la brasserie Maître Kanter), et pour ne pas exclure les « sans passe sanitaire. La tradition des cafés philo veut qu’ils soient ouverts à tous, sans discrimination de couleur, de niveau, de classe, et encore moins de maladie, qui plus est, sans symptôme (protégez-vous néanmoins).

Propositions de débat pour l’extrait de texte ci-dessous :
– 1er tour informel de la parole : on exprime une première impression.
– 2 ème tour, on formule une question que le texte nous suggère.
– On démarre une discussion à partir de la question qui interpelle le plus le groupe.
> Soit que l’on ait « voté » pour la question, soit que l’on réponde aux questions qui demandent tout d’abord un éclaircissement général, avant de nous attaquer aux questions de fond.

Ref : Pourparlers 1972 – 1990. Gilles Deleuze. Editions de Minuit.

Ressources :
– DELEUZE ET GUATTARI – Les Vendredis de la philosophie [2007] France Culture
– Les cours de Deleuze sur Youtube. Par le webdeleuze
– Un cours de Gilles Deleuze – Sur Foucault le pouvoir – Séance 1 – Cours du 7 janvier 1986
– Qu’est-ce que la philosophie ? Notes sur Deleuze et Guattari. Sur le blog de Marcal Pozzo.

Autres captures d’écran

Ref : Chap. Sur la philosophie. Pourparlers 1972 – 1990. Gilles Deleuze. Editions de Minuit.

Ref : Dictionnaire de la philosophie (Ellispes poche)

Pour limiter les effets de dispersion dans le débat :
– On s’efforce de relier son intervention à la question de départ, de mettre en lien ce que l’on dit avec ce qui a été dit.
– Pour favoriser une circulation de la parole, de sorte à co-construire le débat avec les autres participants, on reste concis.
– On s’attache non pas à affirmer son opinion, mais à expliquer la raison de sa pensée. En effet, c’est sur la base des argumentations, que l’on met en lien avec la question/le thème de départ, que l’on tente de faire progresser le débat, c’est-à-dire, d’en clarifier les enjeux.
– Si possible, on tente d’identifier les thèses, les problématiques sociales, éthiques, philosophiques qui sous-tendent son argumentation.
– On évite de multiplier les exemples, de citer de longues expériences, de se lancer dans de longues explications, mais on va au fait de son argumentation.
– La parole est donnée dans l’ordre des demandes, avec une priorité à ceux qui s’expriment le moins.

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