Il y a aussi le fait de « se poser des questions » qui nous ammènent à définir (sans doute suite à un étonnement du fait qu’il y ait quelque chose plutôt que rien (cf J. Hersch)) des « concepts » tels que le temps, l’art, l’amour, etc.
(On peut certainement rattacher ce point à « Est-ce chercher ce qui est vrai » mais il faut alors se demander ce qu’est la définition du « vrai ».)
Pour aider à répondre à cette question, intéressant article intitulé « Comment on devient philosophe » dans « Les Grands Dossiers des Sciences Humaines » n°34, mars-avril-mai 2014, p.72-78.