Cafephilos › Forums › Les cafés philo › Pensées critiques, anti-covid et anti conspirationnistes de la gestion du Covid. › Dr. Amine Umlil (docteur en pharmacie, juriste, et pharmacologue au CTIAP) AMM conditionnelle et pharmaco-vigilance.
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13 août 2021 à 12h20 #6056Amine Umlil (docteur en pharmacie, juriste, et pharmacologue au CTIAP, hospitalier à Cholet)
Retrouver son intervention ici sur le CSI n°12 (juillet 2021).Ma prise de note ci-dessous :
– Dr Amine Umlil invite, via une lettre ouverte adressée au ministre de la santé, Olivier Véran, à débattre avec lui en raison du fait que ce dernier ne semble pas averti de la valeur bénéfice / risque des vaccins anti-covid. Il rapporte pour cela des données extraites des documents officiels (Agence Européenne du Médicament, Agence Nationale de la Santé).
C’est le but du CTIAP – centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques – de l’hôpital de Cholet, que de rendre « visible » (de retraduire pour informer) les documents officiels des agences de santé, des groupes pharmaceutiques. Il s’agit d’informer autant les médecins, qui sont noyés sous un trop grand nombre d’informations, que le grand public.La dimension du risque
– Le vaccin (ou l’injection) s’adresse à des personnes en bonne santé. De ce fait, la sécurité du traitement doit être maximum. Rappelons que 85% des personnes ne déclarent pas de symptômes face à cette maladie. En conséquence, le rapport au risque sera défavorable, si le bénéfice n’est pas statistiquement très important.
– Les autorités attendent de l’injection qu’elle protège des formes graves de la Covid et qu’elle stoppe la transmission du virus. Or, dans le paragraphe E de l’AMM Conditionnelle (site officiel de l’Agence Européenne du Médicament), l’industrie du vaccin indique tout ce qui reste à faire : le dosage et le type des excipients, les caractéristiques des principes actifs et les procédés de fabrication. C’est inédit, je n’ai jamais vu ça. En effet, il est impossible de valider un lot de vaccins et les bonnes pratiques de fabrication dans de telles conditions.
– Dès le début, les vaccins ne promettent pas de protéger contre l’infection, mais seulement contre des formes graves. Toutefois, les essais thérapeutiques n’ont pas été effectués sur des patients de plus de 75 ans et ceux avec des comorbidités. Donc la preuve de l’efficacité sur les personnes âgées et vulnérables n’a jamais été démontré, alors qu’elle est la population à risque de cette maladie.La valeur moyenne et l’intervalle de confiance
Les fabricants de vaccin indiquent des valeurs moyennes très larges, ce qui, dans les faits, ne permet pas d’interpréter les résultats, car l’intervalle de confiance devient aléatoire.Le rapport au droit
Pour un médicament (ou vaccin, injection) sous AMM Conditionnelle, les informations le concernant doivent être délivrées de manière claire, loyale et appropriée (code de la Santé Publique), or, la publicité faite de ce traitement (et la quasi-obligation aujourd’hui de le prendre) ne vont pas dans le sens d’obtenir pour les patients un consentement éclairé. Le principe fondamental d’inviolabilité du corps humain n’est pas respecté.
Convention d’Oviedo. Cette convention met l’intérêt de l’être humain au-dessus des intérêts scientifiques et médicaux. Elle est un instrument juridique international contraignant qui protège la dignité et le droit de l’être humain contre les abus rendus possibles par le développement de nouvelles techniques médicales ou biomédicales. Cette convention « oblige » à déclarer le moindre cas grave « corrélé » à une vaccination. Or, ce n’est pas fait.Autres liens :
Le débrieffing du Dr Amine Umlil sur France Soir.
Le blog du CTIAP. Hopital de Cholet.Condition d’octroi de l’AMM Conditionnelle
Vu dans la plainte de Me Di Vizio (page 34, le télécharger et voir ici) et la Revue Prescrire (voir ici)Implicite : il ne doit pas exister de méthode satisfaisante (…) de traitement autorisé dans la communauté (…) pour accorder une AMM conditionnelle à un traitement qui n’a pas fait ses preuves.
Autrement dit, si un traitement était autorisé, et qu’il avait des chances d’être aussi, sinon plus efficace que les vaccins, ses derniers n’auraient pas été autorisés.
> Les conditions d’attribution de l’AMM conditionnelle peuvent-elle expliquer que les études cliniques sérieuses sur l’ivermectine et la hcq n’ont jamais été programmées par les autorités gouvernementales et les grandes institutions, mais toujours conduites par des chercheurs curieux et indépendants ?
– Voir ici le site qui recence toutes les études sur l’ivermectine et la hcq.
– Voir ici l’analyse qualitative des méta-analyses (tri des meilleures analyses) du Pr. Matthieu Million (octobre 2020) -
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