Cafephilos Forums Les cafés philo Pensées critiques, anti-covid et anti conspirationnistes de la gestion du Covid. Ecrire au Président, suggestion d’argumentation du journaliste scientifique Xavier Bazin et de l’association Bon Sens.

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    René
    Maître des clés

      Ecrire au Président. Ci-dessous, deux suggestions pour vous inspirer à partir de la tribune du journaliste scientifique Xavier Bazin et de la lettre de l’association Bon Sens,

      Mr le Président de la République Française
      Palais de l’Élysée
      55 rue du Faubourg-Saint-Honoré,
      75008 Paris

      Ecrire directement via le site de l’Elysée ici.

      Auteur : Xavier Bazin. Original pour France Soir, lien ici
      TRIBUNE – Vacciner, vacciner, et vacciner encore. Sous la contrainte s’il le faut. Voilà la seule « solution » pour Emmanuel Macron.

      Mais, Monsieur le Président, je vous rappelle que 88 % de la population adulte est doublement vaccinée. Si le vaccin fonctionnait si bien que ça, pourquoi s’affoler ?
      Il y a un problème quelque part. Alors vous nous dites qu’il fonctionne très bien mais… seulement pendant six à neuf mois.
      Je vous donne raison sur un point : ce vaccin est totalement inefficace après quelques mois, en effet.
      Une grande étude suédoise vient de le confirmer [1] : après huit mois, le vaccin n’a plus la moindre efficacité contre les infections :

      Au bout d’un moment, l’efficacité devient même négative. C’est confirmé par les chiffres donnés par le Royaume-Uni [2]. Au mois d’octobre, chez les plus de 30 ans, il y avait nettement plus d’infections chez les vaccinés que chez les non-vaccinés.

      Et, ne me dites surtout pas que ce serait dû au fait « qu’il y a plus de vaccinés que de non-vaccinés dans la population ».
      Ce graphique prend en compte la proportion de vaccinés et non vaccinés, pour 100 000 habitants.
      En octobre, donc, les vaccinés avaient bien un risque plus important d’être infectés que les non-vaccinés, au Royaume-Uni.
      Partout dans le monde, on voit bien que le vaccin n’arrête pas les infections, et n’empêche absolument pas l’épidémie de se déployer.

      Prenez Singapour : ce pays a beau figurer parmi les plus vaccinés de la planète… il a connu depuis fin août sa plus haute vague de contaminations et de décès :

      Que dire de ce qui se passe au Vermont, l’État le plus vacciné des États-Unis ?

      Le Vermont vient de battre son record de contaminations journalières (il n’y avait jamais eu autant de contaminations en une seule journée depuis début 2020)… malgré près de 90 % de sa population adulte vaccinée [3].
      Même phénomène dans la ville de Waterford, en Irlande : c’est la ville la plus vaccinée du pays, avec 99,7 % de la population adulte vaccinée [4]…
      …et c’est pourtant la ville qui a récemment connu le taux le plus élevé d’infections en Irlande [5].
      Peut-être que le vaccin finit par rendre plus vulnérable aux infections, on ne le sait pas encore avec certitude.
      Une chose est sûre, évidente : le vaccin n’empêche ni les contaminations, ni la transmission du virus.

      On en a aussi des exemples tous les jours en France :
      Cluster énorme de soignants à l’hôpital Saint-André à Bordeaux : 15 soignants vaccinés (par obligation) ont été testés positifs ainsi que 6 patients doublement vaccinés [6] ;
      Cluster de soignants et patients à l’hôpital de Puy-en-Velay, qui aurait touché jusqu’à 40 personnes [7], cluster au Centre hospitalier de Lons [8], etc.
      Clusters dans les maisons de retraite : 20 résidents contaminés (tous vaccinés) en Vendée [9], un tiers des résidents infectés dans un Ehpad de Sarthe, dont cinq en sont morts [10].
      Tout cela pointe quelque chose d’évident. Tout cela montre une vérité aveuglante, que vous avez pourtant refusé de reconnaître hier soir, Monsieur le Président :

      Il faut arrêter tout de suite le « pass sanitaire », qui n’a aucun sens.
      À quoi sert-il de « laisser passer » les seuls vaccinés, alors qu’ils peuvent tout aussi bien transmettre le virus et infecter les autres que les non-vaccinés ?
      Cela veut dire, aussi, qu’il faut arrêter tout de suite l’obligation vaccinale des soignants.
      Puisque la vaccination n’empêche pas de contaminer autrui, il faudrait tester régulièrement tous les soignants, vaccinés ou non – c’est le meilleur moyen de protéger les patients.
      Et il faut arrêter la fuite en avant de la troisième dose, quatrième dose, cinquième dose, etc.

      Non, la troisième dose ne changera rien au problème car ces substances ne sont pas des « vaccins ».
      La troisième dose ne changera rien à la dynamique de l’épidémie, à la circulation du virus :
      – car ce vaccin, avec une, deux ou trois doses, n’a jamais empêché les transmissions – la charge virale des contaminés est la même, qu’ils soient vaccinés ou non vaccinés, récemment ou non ;
      – car ce vaccin, même avec trois doses, protègera toujours très mal des infections, notamment avec les nouveaux variants.

      La troisième dose ne changera rien à ce fait : ces vaccins ne sont pas un outil de lutte contre l’épidémie.
      Au mieux, ce sont des instruments de protection individuelle, contre les formes graves.
      Donc, il faut arrêter une bonne fois pour toutes de parler de « vaccin ». Le très respecté Peter Doshi, éditeur du British Medical Journal, l’a dit haut et fort lors de son audition récente par un sénateur américain [11] :

      « Le dictionnaire Myriam-Webster (l’équivalent du Larrousse) a dû changer sa définition du vaccin pour qu’elle puisse s’appliquer aux vaccins Covid.
      Et si on appelait plutôt ces injections des « médicaments » ?
      Nous avons des preuves que ces « médicaments » n’empêchent pas les infections, et ne stoppent pas la transmission du virus.
      Simplement, ce type de « médicament » est considéré comme réduisant votre risque d’être très malade et de mourir du Covid.
      Prendriez-vous ce « médicament » tous les 6 mois environ, peut-être pour le restant de vos jours, si c’est la condition pour que le médicament reste efficace ?
      Seriez-vous prêt à soutenir des mesures d’obligation de ce « médicament » ?
      Ne pensez-vous pas qu’il faudrait se dire plutôt ceci : « attendez une seconde, si c’est le seul bienfait de ce médicament, pourquoi ne pas prendre un médicament normal à la place ? Le genre de médicament que l’on prend quand on est malade et qu’on veut aller mieux.Et pourquoi obliger qui que ce soit à prendre ce médicament ? »

      Eh oui, il faut le dire et le répéter : les « vaccins » anti-Covid ne sont pas des vaccins, mais des thérapies (expérimentales) : dans le meilleur des cas, ils réduisent (temporairement) le risque de formes graves. C’est donc un « médicament », et rien ne justifie de l’imposer à qui que ce soit.

      Monsieur le Président, il faut arrêter la folie autoritaire et faire ceci : la troisième dose doit rester une affaire privée, une appréciation personnelle du bénéfice-risque, à discuter avec son médecin.

      Alors que faire, si le vaccin n’est pas la solution contre l’épidémie ?

      D’abord, ne pas s’affoler : la moitié de la population française a déjà été en contact avec le virus, ce qui écarte le risque de vague gigantesque à l’avenir.

      Ensuite, il y a trois choses très simples à faire, pour bien passer l’hiver :
      1° – renforcer l’hôpital – or vous avez fait le contraire, Monsieur le Président, en fermant des lits en pleine épidémie, et en imposant l’obligation vaccinale aux soignants, ce qui a conduit à perdre des milliers de professionnels formés – et à fermer davantage de lits encore ;
      2° – traiter dès les premiers symptômes, avec des molécules pas chères et efficaces, éprouvées depuis longtemps (ivermectine, hydroxychloroquine, fluvoxamine, anti-histaminiques, etc.)
      3° – et faire de la prévention avec des vitamines (D en priorité, mais également C et E), des minéraux et oligo-éléments (zinc, sélénium) et des gestes d’hygiène simple (bains de bouche et irrigation nasale) ;

      Oui, la très banale vitamine D fonctionne remarquablement bien contre les formes graves, et sans le moindre risque [12] [12b]. La dernière étude, venant d’Israël, est spectaculaire : seulement 3 % des patients hospitalisés pour Covid ayant un taux normal de vitamine D sont morts, contre 26 % de ceux qui avaient une carence [13].

      C’est cela, Monsieur le Président, dont il fallait parler hier soir.

      J’ose le dire : vous auriez dû parler aussi de zinc et de sélénium, ces substances naturelles peu coûteuses et accessible dans toutes les pharmacies.
      Les médecins éclairés les recommandent depuis le début, mais tout récemment, des scientifiques de l’université de Gand en Belgique ont publié une étude fracassante, qui conclut ceci :
      « Presque tous les patients qui finissaient par tomber gravement malades ou même mourir à l’hôpital présentaient une grave carence en sélénium et en zinc dans leur sang à l’admission ».
      Ces carences en zinc et sélénium étaient même des facteurs de risque de Covid grave plus importants que le diabète, le cancer, l’obésité ou les maladies cardiovasculaires [14].

      Monsieur le Président, vous vous êtes enfermé dans une stratégie perdante et liberticide.
      Vous avez fait le choix de l’obscurantisme du « tout-vaccin » contre la vraie médecine de la prévention et des traitements.
      Vous avez fait le choix de l’abonnement vaccinal, cher à « Big Pharma », contre le serment d’Hippocrate (« d’abord ne pas nuire ») et la médecine de terrain.
      À votre décharge, vous n’êtes pas le seul dirigeant à avoir agi de façon calamiteuse, loin de là – mais en France, c’est bien vous qui avez enchaîné les décisions désastreuses :
      – tout au début, en refusant de fermer les frontières et de tester massivement les patients (y compris les rapatriés de Wuhan !) ;
      – en interdisant l’hydroxychloroquine, en refusant de parler de vitamine D, en recommandant le paracétamol et en laissant les résidents d’Ehpad se faire achever au rivotril ;
      – en confinant la population, puis en reconfinant l’hiver suivant, avec des dégâts colossaux et sans le moindre impact tangible sur l’épidémie.

      Malgré ces erreurs coupables, je n’ai jamais désespéré de vous voir revenir à la raison. Jusqu’à hier soir. Désormais, il est clair que vous ne ferez jamais ce qu’il faut faire.
      Que vous soyez mal conseillé ou non, il n’y a désormais plus de doute : pour sortir de la crise et de la folie covidiste, on ne pourra pas compter sur vous.
      Avec vous, Monsieur le Président, on a le pire des deux mondes : à la fois l’inefficacité contre l’épidémie, et la mise en danger de nos libertés fondamentales.
      Avec vous, on a la destruction progressive de l’hôpital, on a le règne tout puissant de Big Pharma, et l’on a une division profonde de notre société, entre vaccinés et non-vaccinés, entre vaccinés deux doses et vaccinés trois doses, etc.
      Vous ne vous en tirerez pas comme ça, Monsieur le Président.
      L’histoire vous jugera sévèrement.

      Références :
      [1] https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3949410
      [2] https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploa…
      [3] https://www.wcax.com/2021/11/04/vt-daily-case-count-vaults-past-pandemic…
      [4] https://www.irishexaminer.com/news/arid-40704104.html
      [5] https://www.irishtimes.com/news/health/waterford-city-district-has-state…
      [6] https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/covid-19-un-cluster-a-l-h…
      [7] https://www.lamontagne.fr/puy-en-velay-43000/actualites/neuf-personnes-i…
      [8] https://www.leprogres.fr/sante/2021/11/05/covid-le-taux-d-incidence-flam…
      [9] https://larochesuryon.maville.com/actu/actudet_-vendee.-un-cluster-dans-…
      [10] https://actu.fr/societe/coronavirus/covid-19-en-sarthe-un-important-clus…
      [11] https://www.francesoir.fr/politique-monde/peter-doshi-il-y-quelque-chose-qui-ne-colle-pas
      [12] https://febs.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/febs.15495, [12b] https://www.mdpi.com/2072-6643/12/9/2757
      [13] https://www.timesofisrael.com/1-in-4-hospitalized-covid-patients-who-lac…
      [14] https://www.mdpi.com/2072-6643/13/10/3304

      Auteur(s): Xavier Bazin, pour FranceSoir

      Monsieur le Président de la République,

      Après deux ans de crise, de nombreuses questions sont toujours sans réponse de la part du gouvernement. En situation de crise, l’erreur est possible et excusable.

      Mais, l’obstination dogmatique, qui tourne à l’obscurantisme scientifique, est une faute.

      Le prix de cette faute est chèrement payé par les Français et, pour certains, au prix de leur santé ou de leur vie.

      Un comité scientifique, enfermé dans sa doxa, qui refuse l’intelligence collective et qui systématiquement dénigre et/ou remet en cause, avec arrogance et dédain, les travaux de ses pairs, ne peut plus être l’instance de réflexion et de pilotage pour sortir la France de la crise sanitaire.

      Le doute et le questionnement sont les fondements de la réflexion scientifique et de la recherche. La connaissance est le fruit des résultats collectifs de la recherche.

      Jamais l’intelligence de quelques-uns ne saurait être supérieure à l’intelligence collective.

      Il ne s’agit pas d’une guerre, mais d’une crise sanitaire, dont la clé réside précisément dans l’intelligence collective, le pragmatisme et le partage d’expériences.

      Les innombrables contradictions et contrevérités portées depuis 18 mois par les autorités de santé ont ébranlé la confiance des Français.

      Plus que jamais, les Français demandent des réponses claires à des questions simples.

      Dites-nous pourquoi :

      Effrayer les Français et parler de guerre, alors qu’il ne s’agit que d’une crise sanitaire?
      Dissimuler que les vaccins* contre la Covid-19 ne sont en réalité pas des vaccins, mais uniquement des thérapeutiques nouvelles de prévention des formes graves, pour lesquelles nous avons très peu de recul ?
      Prétendre erronément que ces vaccins*, dont la composition exacte est secrète, sont des technologies sans aucun risque, au mépris des faits établis maintenant dans le monde entier et alors même que les laboratoires sont exonérés contractuellement de toute responsabilité ?
      Refuser de reconnaître officiellement et sans ambiguïté, que ces vaccins* ne protègent ni de la contamination, ni de la contagion ?
      Imposer faussement ces vaccins*, comme la seule et unique solution en refusant de privilégier les traitements précoces ?
      Refuser les enseignements qui s’imposent au vu des résultats et des stratégies de pays qui ont mieux géré la crise sanitaire que la France ?
      S’obstiner à interdire/DECONSEILLER tous les traitements précoces malgré leurs succès démontrés dans plusieurs pays, au motif de pseudo-exigences scientifiques auxquelles les vaccins* n’ont eux-mêmes pas été soumis ?
      Faire prendre des risques à des femmes enceintes et à leurs bébés, en incitant à leur vaccination, alors que les études sur la sécurité pour le fœtus sont très limitées et ne seront pas terminées avant plusieurs années. Saviez-vous que même le laboratoire PFIZER déconseille, par écrit dans son protocole en ligne, l’usage de son vaccin au cours des 28 premiers jours post fécondation ?
      Sacrifier potentiellement la santé et la vie de populations sans risque de développer des formes graves, en les forçant à se vacciner et en les exposant ainsi à un risque important de développer des complications graves à long termes ?
      Avoir EXCLU volontairement les médecins généralistes du parcours de soin des malades de la Covid- 19, alors qu’ils sont normalement le premier rempart avant l’hospitalisation ?
      Avoir refusé d’augmenter les moyens de l’hôpital et la capacité hospitalière, dont la saturation a conduit aux mesures coercitives imposées aux Français ?
      Cautionner la prise de parole non objective de médecins ayant des liens d’intérêts conflictuels avec les laboratoires pharmaceutiques, sans que ces derniers en fassent ouvertement mention au public ?
      Nommer et maintenir impunément à des postes clés de Santé Publique des femmes et des hommes ayant des liens d’intérêts avec les lobbies pharmaceutiques, incompatibles avec leur obligation de neutralité ?
      Priver les soignants, que vous applaudissiez hier, de tous leurs droits et moyens de survivre, parce qu’ils refusent, en conscience et de plein droit, de se faire inoculer ces vaccins* ?
      Refuser tout débat ouvert, serein et constructif sur la gestion de la crise par les autorités françaises de santé ?
      Nous voulons sortir de cette crise avec vous, pragmatiquement, collectivement et constructivement. Les réponses à ces questions, ainsi qu’à de nombreuses autres que se posent les Français, sont déterminantes.

      Nous demandons par conséquent :

      Un moratoire sur l’inoculation des vaccins* contre la COVID-19.
      La liberté de prescription des médecins, sans contrainte et sans obstacle.
      Le remplacement immédiat de tous les décideurs de Santé Publique ayant des liens ou conflits d’intérêts, y compris au Ministère des Solidarités et de la Santé.
      Une enquête sans délai par le Parquet Financier sur les corruptions et malversations supposées dans le système de Santé Publique, y compris au sein du Ministère des Solidarités et de la Santé, ainsi qu’au sein de l’ANSM.
      Un débat public entre le gouvernement et des experts indépendants internationaux pour discuter de la stratégie vaccinale, des risques liés à la vaccination de masse et des stratégies de soin à mettre en œuvre, notamment en matière de traitements précoces. Nous sommes en relation avec de nombreux experts indépendants, reconnus mondialement, disposés à prendre part dans ce débat pour aider la France à sortir de cette crise sanitaire. Nous sommes prêts à financer toutes les réunions et les enquêtes nécessaires.
      Monsieur le Président, les Français préfèrent le pragmatisme aux positions dogmatiques, la collaboration à la menace, l’intelligence collective à l’infantilisation.

      Les Français sont intelligents et ils ont du discernement. Leurs questions sont légitimes et elles méritent des réponses.

      Le 25 juillet dernier, vous disiez : « Il n’existe pas de liberté sans devoir. ».

      Le premier devoir d’un Président est de répondre aux questions légitimes de son peuple.

      A l’heure où pointe en filigrane l’abonnement vaccinal sans fin (3ème dose, 4ème dose, etc. …) et où, chaque jour, de nouvelles études révèlent les dangers de ces vaccins*, les Français vous interpellent légitimement.

      Les Français ont de la mémoire. Leur exaspération est grandissante. L’Histoire a pris date.

      Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos respectueuses mais vigilantes salutations.

      L’Association Bonsens.org

      NB : * le terme « vaccin » qui est utilisé dans ce document est relatif aux vaccins génétiques expérimentaux actuellement en phase 3 d’essai clinique. La vaccination génétique telle que définie par l’INSERM est « une variante de la thérapie génique [qui] consiste à administrer un fragment d’ADN [ou d’ARNm] codant pour un antigène vaccinal directement dans des cellules de la personne à vacciner. » https://www.inserm.fr/dossier/vaccins-et-vaccinations/

      Fin de la lettre de l’association Bon Sens.

      Notre commentaire, laissez-vous inspirer, écrivez la vôtre, avec votre ton et les arguments que vous souhaitez retenir. N’insultez pas. Restez courtois mais franc. Gardez votre lettre, publiez-là éventuellement. Conserver la réponse qui vous serait faite.

      ————————-
      René Guichardan, café philo d’Annemasse.
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      > Notre proposition de débat contradictoire, annoncée sur notre compte tipee. Merci.

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