Les idéologies masquées (ou déculpabilisées) à l’origine du scandale de la gestion du covid. Sandra Lucbert. Les ministères des contes publics.

[René]

L’énoncé ci-dessous, entendue dans une émission d’Arte, est provocante. Mais contient-elle un semblant de vérité ?
La question est posée ici (cliquer), dans le documentaire d’Arte :
Big Pharma, labo tout puissant. Réalisation : Claire Lasko et Luc Hermann[/url]

Resituons l’énoncé ci-dessus dans un contexte : La santé publique relève du bien commun, la santé personnelle de choix privé. Mais il dépend du gouvernement que la santé des populations et la recherche médicale ne soient pas totalement dépendant des intérêts financiers des actionnaires, ceux du secteur pharmaceutique et celui de l’industrie en général. Nous connaissons déjà les méfais des lobbys de l’industrie du tabac, de l’alimentation, de la chimie, etc. pour influencer les lois de sorte qu’elles ne minorent pas leurs intérêts, y compris lorsqu’ils sont néfastes à la santé des populations (perturbateurs endocriniens, colorants de synthèse composés de nanoparticules, étiquetages des produits alimentaires rendus illisibles, confus, etc.)
> Or, par rapport à la crise du Covid, c’est bien ce à quoi nous assistons. Aucun des grands essais thérapeutiques de l’OMS n’a donné de résultats, et seuls les pharmas avaient la puissance financière de les mettre en place selon des modalités qu’ils ont imposées.
D’où la question : peut-on confié à des industries privées et aux marchés financiers la santé des populations ?

Dans le fil de ce forum, nous posterons des analyses / enquêtes de fond qui permettront de comprendre pourquoi et comment le/les gouvernements tendent à oublier l’idée du « Bien Commun » ou plutôt, comment ils se représentent cette idée indépendamment des populations, voire contre les populations. Nous posterons également dans les ressources, les liens vers des références philosophiques classiques et d’autres moins connues. Enfin, nous dénoncerons également des abus coupables perpétrés par des industries, les multinationales et des administrations du gouvernement.

Sinon, ci-dessous, j’apporte deux arguments face à celui toujours avancé pour défendre la recherche des grandes industries pharmaceutique : la recherche coûte cher et elle vaut quelques sacrifices humains.
1° Or, une question qui, dans sa formulation, réduit les choix entre deux extrêmes, pose nécessairement mal le problème.
2° Par ailleurs, résoudre des maux en en créant d’autres supposent de bien établir la balance des avantages/risques à court, moyen et long termes. Et cela suppose une très grande transparence dans les procédures mises en place. Ce qui n’est pas fait pour les vaccins, vendus à l’Union Européenne sur la seule foi des études cliniques réalisées par les vendeurs eux-mêmes.

– 1° Pour commencer, nous avons été agréablement surpris par la pertinence, l’énergie et le talent de Sandra Lucbert. Retrouvez-la ici, dans Interdire d’interdire, à l’occasion de son livre : Personne ne sort les fusils. (Novembre 2020)
– 2° Sandra Lucbert à nouveau, mais pour son dernier bouquin : Le ministère des contes publics. Chez Frédéric Taddéi à nouveau. Début de son intervention à la minute 26.
– 3° L’enquête de Lucas Gautheron : Comment le capitalisme et le big pharma tue ? Enquête qui démarre à partir des travaux d’Anne Case et d’Angus Deaton, tous deux, prix Nobel d’économie. Ils observent une baisse inédite de l’espérance de vie aux Etats-Unis, première puissance mondiale. En toile de fond de ce désastre, une épidémie d’overdose et l’ombre portée de firmes pharmaceutiques. (Cliquer ici, sur le Média, Durée 13mn)
– Enfin, 4ème ressources : le Pfizer gate, dont personne ne parle en France, et qui fait scandale aux USA. Avec Xavier Bazin, journaliste scientifique invité sur Radio Sud.
Nous reviendrons sur ces liens pour en produire des résumés.

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René Guichardan, café philo d’Annemasse.
> Lien vers notre forum anti-covid ici.
> Lien vers les sujets du café philo d’Annemasse, ici.
> Notre proposition de débat, annoncée sur notre compte tipee. Merci.
> Juste un mot en attendant, le travail qu’elle fait sur les mots est extrêment intéressant, il permet de resituer la réalité des choses.

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