Cafephilos Forums Les cafés philo Pensées critiques, anti-covid et anti conspirationnistes de la gestion du Covid. Vaccination et pic de mortalité, un biais non perceptible, ici sont postés des news peu ou pas relayées dans les médias.

15 sujets de 1 à 15 (sur un total de 15)
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  • #6029
    René
    Maître des clés
      Les chiffres européens de la mortalité toute cause.

      Même avec une pharmacovigilance parfaite,  on observe un pic de mortalité chez les vaccinés en Europe qui ne s’explique pas. Cliquer ici, et allez à la minute 26 de la vidéo pour voir la démonstration.
      Il est évident qu’il s’agit d’une corrélation entre des pics de mortalité et le départ de la vaccination dans plusieurs pays (ceux qui ont le plus vacciné, notamment des jeunes : Hongrie, Malte, Island). Or, jamais ces pics n’ont été enregistrés dans le passé avec des populations jeunes.

      Pierre Chaillot (Décoder l’éco) soulève le problème et les questions qu’il pose sont fondées sur des chiffres officiels. Sa conclusion résumée (mn 30 :
       » Partout en Europe, la mortalité reste comparable au reste de la décennie (…), on observe que les mesures prises ne sont pas en adéquation avec la baisse de la mortalité attendue, c’est même souvent le contraire. Dès lors, si la mortalité n’est pas exceptionnelle et que l’on trouve des corrélations entre les mesures prises et des hausses de mortalité, est-il raisonnable de maintenir des lois liberticides, d’élargir la campagne de vaccination, de maintenir les mesures de santé publique actuelle ?

      Ce sont de bonnes questions que soulève librement ce « chercheur » indépendant. Dommage que l’incertitude relève de la retenue d’information, de la politique, et non des limites de notre aptitude à savoir. Voir la vidéo de Décoder l’éco ici. 

      ——–

      Article le Monde (ici) : Bénéfices-risques du vaccin : les calculs anxiogènes et approximatifs de ReinfoCovid . Voir ici la réponse point par point de RéinofCovid.

      Ps : pour répondre ,cliquer sur « Répondre » dans l’onglet ci-dessous. Merci de « citer » le passage auquel vous réagissez.

      #6030
      René
      Maître des clés
        Maitre Di Vizio, avocat, spécialiste des affaires médicales.

        Les infos que j’ai retenues dans cette vidéo du18 juin 2021:
        Minute 15 (cliquer ici). L’ Agence Européenne du médicament, ces deux missions officielles :
        N° 1° Elle facilite le développement et l’accès aux médicaments.
        2° (secondairement), elle évalue la sécurité (les effets) des médicaments mis sur le marché.

        Elle comprend une task force pour travailler avec l’industrie pharmaceutique.
        Cette task force produit des conseils scientifiques et dessinent des protocoles pour l’industrie pharmaceutique en vue de l’accompagner pour la mise en place des traitements sur le marché.
        Autrement dit, l’Agence Européenne du médicament est une agence de publicité et de promotion des nouveaux traitements.

        Mn 22. Or, 96% des nouveaux traitements mis sur le marché apportent un bénéfice nul ou négligeable.
        Les vaccins anti-covid sont mis sur le marché par cette agence, et elle dispense les Agences de Santé nationales d’avoir à produire leur avis.

        Mn 27 : Qui gèrent cette agence ?
        La SEAP (Société Européenne des affaires professionnelles. (lobby des affaires)

        Mn 48 Les conflits d’intérêts, illustration avec le médiator.
        L’affaire du médiator (anti diabétique) débute en 1976, le laboratoire Servier le commercialise.
        1997 : la Revue Prescrire en critique l’efficacité et s’interroge sur les effets secondaires (anorexigène)
        2007 : Irène Frachon (pneumologue, voir ici une courte vidéo et ses explications)
        alerte les autorités sanitaires des problèmes cardiaques de la prise du médiator
        2009 : L’agence du médicament le retire du marché
        7 millions de boites vendues, 300 000 personnes traitées. 300 millions d’euros.
        2010 : 500 morts confirmés à la suite de la prise de ce traitement.
        2012 : mise en examen des responsables du laboratoire Servier, car preuve est faite que le laboratoire connaissait le danger de ce médicament.

        Autrement dit :
        21 ans, c’est le temps nécessaire à la Revue Prescrire pour avertir de l’efficacité douteuse du traitement.
        10 ans de plus, pour que la pneumologue Irène Frachon prenne le risque de lancer l’alerte.
        Soit 33 ans pour que l’agence du médicament retire le traitement du marché.
        Tandis que Servier connaissait la dangerosité de son traitement depuis 1997 et trompait le public et les médecins sur ses effets. La preuve en image ci-dessous, la réponse du directeur scientifique du laboratoire pour disculper son traitement était un mensonge, ce qui a valu condamnation du laboratoire.


        La réponse des laboratoires pour tromper le public, les médecins et Irène Frachon (vidéo ici)

        Ps : pour répondre ,cliquer sur « Répondre » dans l’onglet ci-dessous. Merci de « citer » le passage auquel vous réagissez.

        #6032
        René
        Maître des clés
          Nombre d’effets secondaires déclarés par pays par rapport à leur taux de vaccination


          Pour 100 000 vaccination, les Pays Bas déclarent 701 cas d’effets secondaires graves et mortels contre la Pologne qui n’en déclare que 15. L’Allemagne, qui a le plus vacciné (hormis l’Angleterre) déclare l’un des plus petits nombres d’effets secondaires graves et mortels. Pourquoi une telle disparité ?
          Elle tient à la législation et aux dispositifs de collecte des données.
          Question : alors qu’il est notoirement connu que les effets secondaires des traitements sont très mal déclarés, pourquoi les autorités politiques ne se montrent pas plus vigilantes pour des vaccins reposant sur une nouvelle technologie et à propos d’une nouvelle maladie ?
          Le schéma ci-dessus est tiré de cette étude médicale sur la valeur bénéfice / risque des vaccins anti covid : Expression of Concern: Walach et al. The Safety of COVID-19 Vaccinations—We Should Rethink the Policy. Vaccines 2021 (Cliquer ici). L’étude préconise de revoir la politique du tout vaccinal en regard à ses résultats. Notons que 8 auteurs de l’étude déclarent avoir des intérêts avec les firmes pharmaceutiques, dont Pfizer.

          Ci-dessous

          Résumé de la balance bénéfice / risque de la vaccination anti covid par rapport à l’étude ci-dessus

          On peut retrouver les explications du Dr. Carole Cassagne, MCU-PH AP-HM à la mn 11 de cette vidéo (cliquer ici).
          En résumé :
          > Il n’y a pas de corrélation entre les courbes de l’épidémie et le taux de vaccination des pays.
          > Le modèle sur lequel repose la théorie de l’immunité collective est trop imparfait, simpliste (irréel)
          > Il est nécessaire d’obtenir des données par tranche d’âge et co-morbidité pour évaluer le traitement par la vaccination.

          Question : sur quoi repose la politique du tout vaccinal du gouvernement (et en incluant les enfants) alors que les faits, aujourd’hui, n’avalisent pas cette stratégie ?

          —————-

          La vidéo de Didier Raoult du 29.06.2021 sur la question du vaccin (durée 11mn. Cliquer ici)
          En résumé :
          – Efficacité du vaccin varie entre 60 et 80 %
          – Londres a la mortalité (due au Covid) la plus élevée dans le monde
          – Il est possible que le vaccin ait une part de responsabilité dans les variants (bien que le virus varie sans cela)
          – Les politiques de vaccination de masse ne donnent pas les résultats escomptés.
          – Sur 572 vaccinés réinfectés, 10% ont été hospitalisés, 7 réanimés, 8 décès.
          > Soit un pourcentage équivalent avec les populations non vaccinées.
          > Ce sont les personnes les plus âgées qui restent vulnérables.
          – Les essais de traitement proposés dans les Ehpad par l’IHU ont été refusés par les autorités sanitaires.
          – Les porteurs vaccinés, les symptomatiques et les asymptomatiques (vaccinés ou pas), tous sont contagieux (mais pas également).

          —————–

          Ps : pour répondre ,cliquer sur « Répondre » dans l’onglet ci-dessous. Merci de « citer » le passage auquel vous réagissez.

          #6037
          René
          Maître des clés

            La question du savoir, ou de l’épistémologie (suite par rapport à la gestion du covid)


            Dans ce lien (cliquer ici), Daniel Parrochia, professeur de logique et philosophie des sciences à la faculté de philosophie de l’université, on trouve la conférence intitulée : La vérité dans les sciences expérimentales (Rencontres philosophiques de Langres 2011) .. Les logiques formelles qui valent en science physique ne sont pas valides en médecine, en immunologie et plus largement, en science du vivant.

            Résumé de la conférence : (en préparation)

            Autrement dit, par rapport à la Covid, et aux décisions à prendre en situations complexes et incertaines :
            – c’est en faisant l’état des lieux de la diversité des situations, (donc pas en confisquant l’information),
            – en mobilisant la diversité des chercheurs (et non pas seulement un Conseil Scientifique ad hoc qui travaille en secret);
            – en mobilisant tous les savoirs médicaux (et non pas en mettant à l’écart tous les médecins et les chercheurs indépendants);
            – en mobilisant tous les soignants (et non pas en mettant à l’écart les cliniques privées);
            – en mobilisant toutes les expertises (les universités) et pas seulement les agences de consulting privées;
            – en mobilisant les ressources du pays et en les faisant travailler ensemble que l’on peut s’en sortir bien (ou mieux).
            L’art, consisterait ici, à faire un usage de la démocratie et d’internet (mis en réseau) autrement que sur un mode autoritaire, ascendant, normatif, punitif, privatif et secret (secret défense et état d’urgence quasi permanent). Il s’agirait d’aller vers des approches coopératives, de partages d’expérience et de savoir, particulièrement lorsqu’une situation est nouvelle, inconnue et que toute la population est concernée.

            Pour faire le lien avec la démocratie et la question d’une vérité relative, conséquente ET éthique, on peut écouter Barbara Steigler dans cet entretien : La démocratie sanitaire. Entretien du 19.02.2021.

            #6042
            René
            Maître des clés

              La balance bénéfice / risque de la vaccination


              Dans son n°12, le Conseil Scientifique indépendant consacre son édition à la question de la balance du bénéfice / risque associée à la vaccination.
              Voici trois schémas réalisés à partir des chiffres, bien que sous estimés, de l’Agence du Médicament Européenne (AMN)

              Ci-dessous, La létalité apparente par classe d’âge liée au covid. Ce sont donc les populations en danger. On regrette que l’AME ne permettent pas une récolte des données avec des classes d’âges plus précises.
              Ce sont les bien les tranches d’âge 70 – 90 ans qui meurent le plus
              [/size][/color]

              [b »>Ci-dessous, la conclusion est sans appel : la balance bénéfice / risque est favorable pour les plus de 65 ans, elle est nulle pour les 18 – 65 ans, et le risque de mort est plus de 200 fois plus grand pour les moins de 18ans.

              Pour retrouver ces schémas, cliquer ici, la démonstration est réalisée par le chercheur mathématicien Vincent Pavan et par Emmanuelle Darles (enseignant-chercheure en informatique):
              La partie 2 de cette même vidéo, à partir de la minute 41, est consacrée à la pharmacovigilance et au droit par Dc. Amine Ulmil, spécialiste en ces matières.

              #6046
              René
              Maître des clés
                Le variant Delta est plus contagieux mais moins létal que les variants précédents.


                Schéma issu de l’article du Dr. Gérard Maudrux. Cliquer ici pour y accéder – ci-dessous, le résumé

                Selon le ministre de la Santé, le variant Delta est 1000 fois plus contagieux.
                > Mais à ce rythme, en 8 jours la France devrait être contaminée à 100%

                Qu’en est-il réellement ?
                Premier point, plus contagieux ? Oui. Nous allons vite vers le 90-100% de variant delta, avant le suivant.

                Perspective : peut se terminer après 2-3 ans par une endémie quelques années, avec un virus variant qui ressort ici et là, comme pour la grippe saisonnière.
                Un exemple : la grippe espagnole. Epidémie bien plus mortelle que l’actuelle, elle a disparu progressivement, n’existe plus à l’heure actuelle, et ce sans avoir besoin de traitement ou de vaccin. Demain on nous dira que la disparition de l’épidémie actuelle, c’est grâce au vaccin, alors qu’il s’agit d’un phénomène naturel qui se répète depuis des siècles.

                Ce variant ne touche pas que les non vaccinés.
                Les pays qui ont le plus vacciné au monde font également face à cette nouvelle vague, et parfois plus que les autres. Les Seychelles, Gibraltar, mais aussi le Royaume Uni ou Israël. Dans ces deux pays, on peut avancer un chiffre moyen de 40 à 50% de contaminés vaccinés. Comme le taux de vaccinés est de l’ordre de 50-60%, on peut peut-être affirmer que ce variant touche autant les vaccinés que les non vaccinés, on n’est pas loin des 50/50.
                On observer que l’immunité due la maladie semble 7 fois supérieure à celle du vaccin et les vaccinés ne sont pas moins contaminants que les non vaccinés.

                Le variant delta est moins virulent.
                En proportion du nombre de cas, les courbes montrent 15 fois moins de décès avec le delta, qu’avec le précédent variant. Même constatations sur les cas et les décès en Israël.
                Idem en France, la vague a démarré le 28 juin, les hospitalisations et décès auraient dû redémarrer depuis 2 semaines, mais les courbes continuent de baisser. Si nous suivons l’Angleterre et Israël, elles devraient atteindre une proportion 15 fois inférieure à celle des vagues précédentes. Ce qui est moins mortel que la grippe saisonnière !
                Aux USA comme en France, les constatations sont les mêmes qu’ailleurs. Un tableau dans le New York Times montre que plus vous avez de deltas, moins il y a d’hospitalisations !

                Variant delta et traitements ?
                L’Inde s’est très rapidement débarrassé de ce variant né chez elle. En intensité, le nombre de cas/habitant, a été de moitié inférieur à la France. Il est intéressant de comparer deux Etats indiens, le Tamil Nadu, 68M hab, qui a refusé le traitement, et l’Uttar Pradesh, 204 M d’habitants, qui a distribué massivement l’ivermectine. Tous deux avec 35 000 cas /jour au pic. Sans traitement, pour le même variant, la vague est 3 fois plus forte, deux fois plus longue.

                Conclusions sur ce variant delta :
                1) plus contagieux, bien moins virulent. Equivalant à la grippe saisonnière ?
                2) Vaccin moyennement efficace, ne protégeant pas tant que cela des formes graves.
                3) Traitements efficaces.

                Est-ce que cela mérite les privations de liberté et le drame que l’on vit en France ?

                #6047
                René
                Maître des clés
                  Les 15 pays qui ont le plus vacciné au 25 juillet 2021. Our World In Data

                  Le résumé de l’article de Laurent Mucchielli (sociologue, Cnrs) sur son blog accessible ici.


                  Comment évolue l’épidémie dans les pays qui ont déjà le plus vacciné ?

                  les 15 pays ayant le plus vacciné leur population à la mi-juillet sont Gibraltar, Malte, les Émirats Arabes Unis, les Seychelles, l’Uruguay, le Canada, le Chili, l’Angleterre, les Pays-Bas, la Belgique, le Danemark, Israël, le Qatar, Bahreïn et la Mongolie.
                  On observera l’évolution de la mortalité et celle des contaminations
                  On fera aussi à plusieurs reprises des comparaisons supplémentaires entre pays voisins pour observer ressemblances et différences, la comparaison étant souvent instructive.

                  – Gibraltar vacciné à 100%. Environ 34 000 habitants
                  Connaît une flambée de nouveaux cas depuis le début du mois de juillet. La vaccination intégrale n’a donc pas empêché une nouvelle épidémie. Cette hausse apparente des contaminations ne s’accompagne d’aucune mortalité, ce qui signifie soit que le variant concerné est moins létal, soit que la vaccination protège effectivement des formes graves.

                  – Malte vaccinés à 86%. Près de 500 000 habitants. Même constant que Gibraltar

                  – Les Émirats Arabes Unis vaccinés à 77,5%. Environ10 millions d’habitants
                  Envolée en janvier-février 2021 puis en juin 2021 de pic épidémique. La courbe de mortalité, de niveau très faible, semble sans rapport avec la vaccination.
                  La comparaison avec son grand voisin, l’Arabie Saoudite (près de 35 millions d’habitants), est intéressante. Ce dernier pays a vacciné à 53%. On y constate une dynamique épidémique d’avril à juillet dans laquelle les cas et les décès évoluent parallèlement, comme si la vaccination était sans effet.

                  – Les Seychelles, vaccinés à près de 73%. Près de 100 000 habitants. Ces îles ont connu une première petite épidémie tardive en mai-juin 2021, qui a provoqué quelques morts. La vaccination ne semble donc pas avoir protégé ce pays.

                  – L’Uruguay, vaccinés à 70%. Près de 3,5 millions d’habitants. L’épidémie y a été forte de mars à juin 2021, provoquant également une forte hausse des décès, puis une chute tout aussi forte.
                  Idem pour le Paraguay, mais vacciné à 10% (7 millions d’habitants) or l’épidémie est comparable au même moment avec l’Uruguay

                  – Le Canada vaccinés à 70%. Près de 38 millions d’habitants, Ceci n’a pas empêché la phase épidémique de mars-avril 2021, suivie d’une disparition de l’épidémie tant en contaminations qu’en décès. Néanmoins, pas de reprise épidémique de juillet comme dans les pays européens.

                  – Le Chili vaccinés à quasiment 70%, pour environ 17,5 millions d’habitants. Reprise de phases épidémiques en mars-avril, puis fin mai-début juin de l’année 2021. La courbe des décès plutôt plate, avec cependant une tendance à la hausse régulière depuis le mois de décembre 2020. La comparaison entre ces deux voisins l’Uruguay et le Paraguay, suggère que l’épidémie suit son cours sans se soucier véritablement des vaccins.

                  – Le Royaume-Uni vaccinés à 68%, près de 67 millions d’habitants, deux phases épidémiques de décembre 2020 à janvier 2021, et de juin-juillet 2021. Cette dernière ne provoque pas de surmortalité significative (soit le variant Delta est très peu dangereux, soit la vaccination est efficace contre les formes sévères.

                  – Les Pays-Bas vaccinés à 68%, environ17 millions d’habitants. Plusieurs phases épidémiques en mars-avril 2021 puis en juillet 2021, mais faible mortalité subsiste. On note une forte augmentation des personnes contaminées au variant Delta parmi les personnels de santé ayant pourtant été vaccinés de façon complète. Sur les 20 000 participants du festival Verknipt, ayant tous justifié d’un passe sanitaire, un millier a été contaminés.

                  – La Belgique vaccinés à 66,5%. Environ11,5 millions d’habitants. Remontée des cas positifs en juillet, sans lien avec la mortalité là non plus. Les mêmes constats au Danemark, en Israël (reprise en juillet), au Qatar (3 millions d’habitants) à Bahreïn (1,7 millions d’habitants), deux pays voisins, vaccinés dans des proportions similaires (autour de 65%). On constate des phases épidémiques tardives (février-avril 2021 pour le Qatar, mars-mai 2021 pour Bahreïn) qui ont de surcroît fait plus de morts que jamais depuis le début de l’année 2020. Les effectifs sont cependant trop petits pour en tirer des leçons fortes.

                  – Mongolie, vaccinés à 64%, près de 3,3 millions d’habitants. Alors qu’elle n’avait connu jusque-là aucune épidémie, elle fait face à deux phases intenses en mars-avril puis juin-juillet 2021, qui ont provoqué une mortalité inconnue jusque-là depuis le début de la crise mondiale.

                  Conclusions
                  L’examen de ces quelques données statistiques de base (la vaccination, les cas positifs, la mortalité) montre que la vaccination ne semble pas avoir davantage d’impact sur l’épidémie que les mesures de confinement. En clair : elle ne protège pas de la contamination (et bien moins que l’immunité naturelle acquise par les anciens contaminés). Si c’est « la circulation du virus » qui inquiète, alors, à la question-piège « vaut-il mieux la vaccination ou le reconfinement ? » posée par le pouvoir exécutif français, la seule réponse sérieuse est : ni l’un, ni l’autre. Et le simple fait que la vaccination ne protège pas d’une contamination (note 2) suffit également d’emblée à discréditer le projet de « passe sanitaire » qui discriminerait les vaccinés des non-vaccinés dans l’accès à tel ou tel lieu ou tel ou tel service sous prétexte de risque de contamination. Ceci est une évidence qui devrait être connue de tous les citoyens ainsi que des élus et des magistrats amenés à prendre des décisions importantes dans les semaines et les mois à venir.

                  Reste la deuxième question, celle de la possible réduction des formes sévères de la Covid dans les populations les plus vaccinées.
                  En réalité, trois hypothèses sont en concurrence pour expliquer le fait que, dans presque tous les pays occidentaux, le nouveau variant dit Delta provoque une reprise épidémique tandis que la mortalité n’augmente pas.
                  1° La première hypothèse est l’effet de la vaccination. Cette dernière varie toutefois de 40 à 100% de la population avec des résultats finalement assez similaires, ce qui laisse place au doute.
                  2° Le variant serait moins dangereux (certains souhaitant pour cette raison qu’il circule le plus possible et contribue ainsi à construire une immunité collective naturelle plus efficace que la vaccination), du moins en été.
                  3° La saisonnalité des maladies infectieuses, qui voit toujours la mortalité concernée s’effondrer durant l’été.

                  Quant aux pays extra-européens, les cas du Qatar, de Bahreïn, de l’Uruguay, du Chili, des Émirats Arabes Unis, des Seychelles et de la Mongolie indiquent que les intenses campagnes de vaccination n’ont en rien empêché la survenue de nouvelles épidémies qui, contrairement à l’Europe, ont été parfois plus mortelles que les précédentes. Certains généticiens (voir notre entretien avec Christian Vélot) préviennent d’ailleurs du risque que la vaccination générale (avec des vaccins génétiques à ARN ou ADN) contribue elle-même au développement de variants qui pourraient échapper à l’immunité acquise lors de la première épidémie.

                  A ce stade, il n’est donc pas possible de départager les différentes explications possibles des développements actuels des épidémies de coronavirus. En revanche, il est clair que les sortes de cycles épidémiques que l’on constate un peu partout dans le monde (et qui donnent ces fameuses courbes en cloche) semblent se jouer des interventions humaines. L’hypothèse qui nous paraît la plus raisonnable, car elle s’appuie aussi sur les leçons de l’année 2020, est que les principaux facteurs de la dynamique épidémique sont à rechercher du côté de l’histoire naturelle des virus, des facteurs climatiques (d’où la saisonnalité des maladies infectieuses) et des structures démographiques et sanitaires des populations (la clef étant la proportion de personnes à risque du fait du grand âge, des maladies cardio-vasculaires antérieures, de l’obésité, etc.), et non du côté des décisions politiques, fussent-elles de vacciner plus ou moins vite et plus ou moins fortement la population générale.
                  * * *

                  Notes

                  (1) « Je veux aussi être clair : je ne rendrai pas la vaccination obligatoire », déclarait Emmanuel Macron lors de son allocution télévisée le 24 novembre 2020. Il s’agissait d’un mensonge. Dès ce moment, le projet de rendre la vaccination obligatoire était sur la table de travail du gouvernement comme le montre le projet de loi de « gestion des urgences sanitaires » déposé par le Premier ministre quelques jours plus tard, en décembre 2020, et retiré rapidement devant les critiques provenant notamment du Sénat. Le ministre de la Santé répétait alors que la vaccination ne saurait être rendue obligatoire et renvoyait le débat parlementaire à ce sujet à « plusieurs mois ». Par la suite, la stratégie rhétorique consistera à dire que la vaccination ne sera pas rendue directement obligatoire pour l’ensemble de la population (seulement pour les soignants), tout en laissant entendre qu’elle le deviendra en réalité indirectement par l’extension progressive du passe sanitaire.

                  (2) Dans la note précédente, on rappelait les mensonges du pouvoir exécutif quant au projet de vaccination obligatoire. Ajoutons ici que le gouffre séparant la croyance dans le miracle vaccinal de la réalité médicale est reconnu officiellement depuis des mois par les mêmes autorités, mais face à un autre interlocuteur. Saisi en mars 2021 par un citoyen de 83 ans, vacciné et ne comprenant pas les restrictions de circulation qu’on lui imposait, le Conseil d’État a rejeté sa demande dans une ordonnance du 1er avril 2021. Pour ce faire, il s’est appuyé sur les réponses du ministre de la Santé résumées par exemple dans cet article d’Europe 1 : « Dans son mémoire de réponse, le ministre de la Santé estime qu’il est prématuré en l’état des connaissances scientifiques de différencier les « règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses des vaccins ». Olivier Véran invoque quatre arguments. D’une part, « l’efficacité partielle des vaccins », et en deuxième lieu le fait que « l’efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants ». En troisième lieu, « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. » Enfin, « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu » ». Tout ceci est donc parfaitement connu à la fois du gouvernement et des journalistes depuis longtemps. Que le premier tienne une position idéologique pour tenter de faire passer en force son projet est une chose. Que les seconds soient incapables de prendre la moindre distance d’avec cette propagande d’État, même quand les arguments leur sont servis sur un plateau,est beaucoup plus inquiétant.

                  #6057
                  René
                  Maître des clés
                    Les titres catastrophiques des médias en général ce 12 aout 2021

                    France Culture ne fait pas mieux, Journal du matin ce 12 aout 2021. (Ecouter ici)

                    ——————
                    Pourtant les chiffres du tableau de bord du Monde, ce même jour ne sont pas si alarmistes.

                    —————–
                    On communique beaucoup sur le chiffre d’incidence, tandis que le taux de positivité est peu élevé, alors qu’on n’a jamais pratiqué autant de tests.

                    ——————–
                    La mortalité en France (et Dom Tom) reste basse.

                    Le tableau de bord du Monde est accessible ici.
                    ————-
                    Le nombre de patients en soins critiques dans les départements et Dom Tom le 12.08.2021

                    Comment les médias se sont-ils corrompus à ce point ? Ils ne font que colporter la parole du gouvernement. Ils n’exercent plus aucune vérification des faits, ni n’analysent rien (pas de mise en contexte, pas d’analyse des enjeux, pas de recherche de conflits d’intérêts. Ce sont les portes-paroles du gouvernement et des capitalistes qui les financent. La réponse de Laurent Mucchielli, interviewé par Rémi (Le juste milieu) ici.
                    Ici, Pierre Chaillot montre comment se propage une épidémie et la pertinence des mesures prises. Vidéo de mars 2021

                    #6058
                    René
                    Maître des clés
                      Les schémas ci-dessous proviennent du Conseil Scientifique Indépendant n°18 du 12.08.2021. Tous les chiffres sont officiels.
                      Reste à les interpréter. Les propositions du CSI ne peuvent pas être ignorées.


                      Le nombre de décès en Europe associé à la vaccination est très élevé : : 22 794. En avez-vous entendu parler ? Pensez-vous qu’un examen clinique est réalisé pour chaque décès ? Certes, il s’agit bien d’une corrélation et non d’un rapport de cause. Mais qui meurent (âge, genre) et pour quoi (comorbidité, causes premières et secondaires de la mort ? Les sujets sont-ils positifs, ou négatifs au test, sont-ils des cas covid avec ou sans symptôme) ? Peut-on répondre à ces questions ? Pour quelles raisons n’y répond-on pas alors que les vaccins sont sous AMM conditionnelle, et qu’ils devraient être particulièrement surveillés ? Où sont les rapports, où est la communauté scientifique à qui ils sont proposés en libre accès ?

                      Suite : quelques schémas ci-dessous présentés lors de l’intervention du CSI.
                      ——————–

                      Létalité comparée du Covid et de la vaccination en France
                      Selon CoverAge, 3,64% des personnes sont décédées du covid.

                      On sait que la façon de compter la létalité du Covid pose problème, notamment en agrégeant les morts avec le covid et les morts du covid. A voir dont la manière s’y est pris le collectif européen de 70 chercheurs pour les compter. Mais si leurs calculs sont justes, alors, d’après la base européenne des données de la remontée des effets secondaires, la mortalité associée à la vaccination est plus élevée pour les moins de 65 ans et pour les plus de 85 ans.
                      ———————-

                      La vaccination de masse cause plus de victimes que la covid, c’est l’avis du CSI n°18

                      ———————–
                      Ecouter ici le Conseil Scientifique Indépendant n°18 du 12.08.2021. (d’où sont tirés les schémas ci-dessus)

                      ———————-
                      Ainsi, selon le Conseil Scientifique Indépendant, d’après les chiffres européens de la pharmaco vigilance, on meurt plus de la vaccination que du Covid. Qu’en pensez-vous ?

                      Le pdf de la présentation est là :
                      https://drive.google.com/file/d/1TsIly5GHBuWev0wPwiRaYVAErIZ9KC5_/view

                      Le détail des calculs est là :
                      https://colab.research.google.com/drive/18sNvFu_kFS5xP8fHtZS7qT0aXDR3xe7J?usp=sharing#scrollTo=BkDcIL_XVd0b

                      Bien entendu, il y a les chiffres (les faits) et l’interprétation des faits (ce que l’on fait dire aux chiffres)
                      Mais dans cette histoire du covid, il y a également l’examen des chiffres (d’où viennent-ils, pourquoi ces chiffres-là, comment, à partir de quoi sont-ils collectés ?)

                      En tous les cas, l’équipe du CSI est plus transparente (puisque toutes les sources sont mentionnées) que le gouvernement.

                      Mes commentaires
                      Pour évaluer l’intérêt du vaccin, dans l’absolu, il faudrait des cohortes de patients comparables entre eux: également vulnérables et également exposés aux virus.
                      > La comparaison des pays entre ceux qui ont le plus vacciné et ceux qui l’ont le moins fait, peut constituer une première approche. L’Inde est un bel exemple, de même que certains états des Usa et du Mexique. Dans ces régions du monde, certains états ont été pro vaccin, tandis que d’autre, pro traitement. En attendant, le Dr. Maudrux (voir ici) rapportent quelques observations quant à ses recherches. Elles sont toutes en faveur, et de loin, du traitement.

                      Entre le rapport de causalité et celui de corrélation, il y a la « présomption », laquelle exige une certaine forme de prudence, mais aussi d’approfondir les recherches qui permettraient d’affiner le savoir, surtout pour des traitements sous AMM Conditionnelle. Rappelons que le moindre traitement qui aurait montré un semblant d’efficacité aurait été un motif valable pour ne pas accorder l’AMM conditionnelle aux vaccins. (Plus d’info ici, avec le Dr. Amine Umlil (pharmacologue, juriste)

                      Selon une autre méthode, Pierre Chaillot analyse l’efficacité des vaccins + leur rapport avec la mortalité toute cause en se basant sur deux études israéliennes (voir ici le résumé et le lien de son intervention)

                      Autres liens corrélés sur ce sujet
                      Dans cette vidéo (cliquer ici), Pierre Chaillot analyse la manière dont la France a comptabilisé les morts du covid, tout en les mixant avec d’autres causes de mortalité. Titre de la vidéo : 100 000 morts vraiment ? (Avril 2021)

                      #6060
                      René
                      Maître des clés
                        Pr Philippe Parola, Chef de service des maladies infectieuses. IHU le 10.08.2021

                        Accéder ici à l’intervention du Pr. Paroloa.

                        Ma prise de notes :
                        Le variant semble moins sévère, on observe moins de décès que lors des vagues précédentes.
                        – La protection du vaccin semble plutôt modérée. Il manque des cohortes pour statuer sur son efficacité réelle, c’est-à-dire de pouvoir comparer des populations vaccinées et non vaccinées, populations qui doivent être équivalentes en termes de risques d’exposition et de vulnérabilités. La surveillance des pays qui vaccinent le plus dans le monde nous informera (Israël, Islande, Grande-Bretagne, etc.).
                        En attendant, d’après nos observations cliniques à l’IHU:
                        1° on ne peut conclure sur l’efficacité du vaccin entre les populations vaccinées et non vaccinées.
                        2° pour les populations à risque (personnes âgées, avec comorbidité), il y a un bénéfice du vaccin d’après certaines études.
                        3° Mais il n’y a pas d’argument en faveur d’une vaccination de masse, donc sur le plan de la Santé Publique, car les vaccinés restent porteurs du virus et sont contagieux.
                        4° Les vaccinés asymptomatiques et symptomatiques sont aussi contagieux que les non-vaccinés asymptomatiques et symptomatiques.
                        5° Dommage qu’il n’y a pas d’accès précoce aux soins, car l’accès tardif aux soins est aggravant.
                        6° Pour la Martinique qui reconfine, le confinement ne permet pas d’affirmer qu’il réduit la mortalité, les études montrent qu’il est soit sans effet, soit contre productif. (Voir ici l’intervention du Pr. Ioannidis John sur les effets du confinement à l’échelle mondiale)
                        7° La question pour ou contre la vaccination n’a pas de sens en soi. La vaccination, c’est pour qui (quelle personne pour quel risque ?), pour quoi (quelle maladie et quel bénéfice / risque) et quand ? (quel moment dans la vie, quelle saison, période épidémique, etc.)

                        Vidéos et résumés corrélés :
                        Pierre Chaillot analyse deux études cliniques sur la vaccination en Israël. (Décoder l’eco – juillet 2021)
                        L’analyse du CSI n° 18 sur le rapport entre la mortalité enregistrée dans la pharmacovigilance européenne et la vaccination. Vidéo du 12.08.2021.
                        La méta-analyse qualité (et non seulement sur un rapport de quantité) de Matthieu Million sur les traitements.
                        – Moins directement corrélé, mais très intéressant, comment on compte les morts et comment une épidémie se propage ? Pierre Chaillot, le 12/03.2021, sur l’efficacité des mesures prises.

                        #6063
                        René
                        Maître des clés

                          Ma prise de notes
                          > Pourquoi la rédaction de Mediapart a-t-elle censuré l’enquête de Laurent Mucchielli et ses confrères ? Les justifications de Mediapart :
                          1° Laurent Mucchielli et ses co-auteurs sont un peu « fantaisistes » dans leurs calculs, car ils « additionnent tous les effets indésirables déclarés après une vaccination».
                          2° Or, « le lien entre ces effets et le vaccin n’est pas toujours formellement établi ».

                          Pourtant, l’un des deux experts de l’AFP interrogés sur l’article de Mucchielli, affirme que les chiffres de décès sont « des signaux, pas des cas avérés ». C’est exactement ce que l’article de Laurent Mucchielli relate. Il reste que la sonnette d’alarme tirée par les 5 auteurs se justifie car jamais une campagne de vaccin n’a été concomitante à autant de décès. Voir son texte republié ici,
                          > Voir ici le lien vers son intervention vidéo sur les vaccins + un résumé

                          Comment se défend Mediapart de sa bonne foi ?
                          La cellule investigation de Mediapart a fait un travail d’enquête : « concernant les cas de décès déclarés ayant reçu une injection de Pfizer-BioNTech en France, l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a répondu en mai à Mediapart que les données ne permettaient pas « de conclure qu’ils sont liés à la vaccination ».
                          Autrement dit : L’ANSM le dit, Mediapart a confiance, il n’y a donc pas de danger avec les vaccins.

                          Quels sont les deux pharmacologues consultés par Mediapart par rapport à cet article ?
                          Il s’agit de Matthieu Molimard, chef de Service de Pharmacologie Médicale au CHU de Bordeaux, qui affirmait en mars qu’« une fois bien vacciné, tous vaccins confondus », il n’y avait plus de risque de transmettre le Covid.
                          Il affirmait encore sur son compte Twitter : « Il n’y a AUCUN exemple de vaccin qui a induit des effets indésirables à long terme qui ne s’étaient pas manifestés dans les 2 mois après la vaccination ».
                          Le professeur a sans doute oublié le Dengvaxia de Sanofi : cela concernait principalement des enfants philippins (600 au moins en sont morts) en 2018. (voir ici sur France Culture, la Fabrique médiatique. 14.11.2020)

                          L’autre « pharmacologue » Michael Rochoy, est en réalité médecin généraliste à Outreau, même s’il a été un jour interne en pharmacologie. Sur les vaccins, il s’est distingué en tentant de montrer que la responsabilité du vaccin Astra Zeneca dans la survenue des thromboses était sans doute liée à une erreur d’aiguillage, et n’avait rien à voir avec la composition du vaccin. Bref, deux « pharmacologues » qui sont loin d’être impartiaux.

                          L’ANSM, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé
                          Dans l’affaire du Mediator, l’agence vient juste d’être jugée coupable de « blessures et homicides involontaires », et d’être condamnée à 303 000 euros d’amende. Le tribunal a également donné son avis sur cette agence, dans son jugement rendu le 29 mars 2021 : l’ANSM « a failli dans son rôle de gendarme du médicament », son « imprudence » et ses « négligences » ont été mortelles, et ont contribué à « renforcer la défiance des citoyens envers les autorités de santé » (Le Monde, 30 mars 2021). Mais visiblement, Mediapart accorde sa confiance à l’ANSM.

                          Fin de ma prise de notes, mais l’article du blog de Boris compte plus de 5000 mots, soit 11 pages A4. Retrouver son article ici
                          On peut lire ici la piteuse et fausse analyse de l’article des Décodeurs du Monde (j’essaierai d’en faire l’analyse si le temps m’est donné) : Faux décès, chiffres mal interprétés : comment les antivaccins sèment le doute sur les effets secondaires

                          #6064
                          René
                          Maître des clés

                            Le dernier article du Dr. Gérard Maudrux : Covid : quelques chiffres

                            Ma prise de notes
                            – Concernant les chiffres de la 4ème vague :
                            Schémas à l’appui, on peut voir que les taux de positivité et d’incidence semblent sur un plateau, comme prêts à redescendre, et par contre le R effectif a fait une descente spectaculaire passant de 2,11 à 1,07. En comparant l’historique et en superposant les courbes, on constate que les montées et descentes de la courbe du R précèdent celles des nouveaux cas d’environ 2 semaines. Conclusion sur les chiffres : Dans 4 à 6 semaines on se félicitera de la fin de la vague, grâce à l’augmentation des vaccinations et de la mise en place du passe, alors que la fin de la vague aura commencé avant.
                            En effet, Les affections virales évoluent depuis toujours par vagues, quelques que soient les mesures prises. Ces dernières ne doivent avoir de l’intérêt qu’en raison de leur efficacité sanitaire, laquelle s’évalue avec la réalité des chiffres.

                            – Les hospitalisations
                            Les Covids représentent 3,4% des hospitalisations (3,67% avec les Dom-Tom)
                            En France métropolitaine, on peut noter sur la période, 84 824 décès + 387 697 sorties, soit 472 521 hospitalisation. Les décès représentent donc 18% des hospitalisations, soit 1 sur 5 finit mal, et 1 hospitalisé sur 6 est en réanimation.

                            – Les variants

                            En ce qui concerne la contagiosité, c’est indéniable, le Delta est très contagieux. Non 1 000 fois plus comme aurait pu le faire croire notre ministre, mais 60% plus qu’Alpha. Le Delta a très rapidement remplacé les précédents en Europe et dans la plupart des pays comme Israël. Au total, il est 2 fois plus contagieux que le Wuhan de la première vague.
                            En ce qui concerne la virulence, lors de la vague précédente, nous avons en moyenne 55 décès par jour, pour 8 200 hospitalisations, cela fait 0,7% de décès. En janvier-février, l’épidémie était en plateau avec 24-25 000 hospitalisations, soit 3 fois plus, et les décès, eux, étaient sur la période de 400 par jour, soit 8 fois plus. Nous avons donc 2,5 à 3 fois moins de décès avec le Delta.

                            – L’efficacité des vaccins
                            Aux US, au Portugal, en Angleterre, en Islande (l’un des pays le plus vacciné d’Europe) en Israël (qui avoue cette semaine 39% d’efficacité, voire moins), tous reconnaissent que la moitié des personnes hospitalisées a été vaccinées et que « la vaccination n’a pas conduit à l’immunité collective ». Il n’y a guère qu’en France qu’on y croit encore.
                            Remarquons que les voisins d’Israël : Egypte, Syrie, Jordanie qui sont très peu vaccinés affichent moins de cas. Sont-ils moins malades, leurs données sont-elles fiables ?
                            Conclusion : Si vous êtes vacciné contre la tuberculose, variole, tétanos, coqueluche, diphtérie, vous n’attrapez pas la maladie. Ici, manifestement, vous l’attrapez autant que non vacciné. Pourquoi alors se faire vacciner ? On vous explique que le vaccin ne vous protège pas, mais qu’il empêche de développer une forme grave.

                            – La protection contre les formes graves de la maladie
                            Tout d’abord, en Israël, ils sont en train de faire la même vague que l’an dernier avant vaccin, malgré les 2/3 de la population vaccinée. Le 5 août, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog à Jérusalem, a déclaré que 95 % des patients hospitalisés avec une forme sévère de Covid, étaient vaccinés.
                            Au Portugal, Graça Freitas, directrice de la santé, disait que la majorité des victimes qui meurent du covid-19 sont âgées de plus de 80 ans et ont été complètement vaccinées. Les 7 décès du Lambda en Belgique, vaccinés deux doses, ne vont pas non plus dans ce sens.
                            Avec le temps, on voit de moins en moins de différences entre les vagues de l’an dernier sans vaccins, et de cette année, avec vaccins, tant en ce qui concerne les cas que leur gravité. On peut se poser des questions sur l’efficacité des vaccins sur les formes graves.

                            La vaccination face à l’épidémie ? Une réponse qui pose question.

                            Le facteur ADE
                            > Anticorps facilitants, ADE (antibody-dependent enhancement – aggravation dépendante des anticorps) ou VAED (vaccine-associated enhanced disease – maladie aggravée par la vaccination).
                            On peut également voir apparaître une différence entre les pays vaccinés et ceux qui le sont moins, confirmant la sonnette d’alarme que lancent certains spécialistes : le phénomène ADE. Le delta chez les vaccinés serait plus sévère que chez les non vaccinés ? En effet, ces données en Israël et aux Seychelles montrent que le delta est virulent, alors que d’autres pays semblent montrer le contraire, avec un variant moins virulent. On ne peut toutefois pas généraliser, les chiffres anglais ne montrent pas autant de virulence.
                            Le temps nous dira ce qu’il en est. Dernière mise en garde sur l’ADE dans cette étude récente : « la possibilité d’une ADE devrait être étudiée plus avant, car elle pourrait représenter un risque potentiel pour la vaccination de masse au cours de la pandémie actuelle de variants Delta ».
                            Mais en France, le gouvernement affirme qu’il n’y a aucun problème, il claironne d’excellents résultats de et avec la vaccination, il annonce que 85% des formes graves hospitalisées proviennent de non vaccinés. (On sait aujourd’hui que c’est faux, voir ici l’analyse des calculs de Pierre Chaillot : Efficacité de la vaccination : Il manque plus de la moitié des décès !)
                            Retrouver l’article du Dr Maudrux ici
                            Autres liens corrélés
                            Voir ici l’interview de Christine Cotton (biostatisticienne, experte dans l’industrie pharmaceutique et spécialiste des essais cliniques.) dans de Debrieffing de France Soir. Elle analyse les documents officiels transmis aux autorités européennes.
                            La première mise en garde de Laurent Mucchielli (résumé et lien vers son article)
                            Voir le lien de la vidéo et le résumé du statisticien Pierre Chaillot ici sur deux études cliniques liées à la vaccination en Israel

                            #6065
                            René
                            Maître des clés
                              Dépublié sur Médiapart, Laurent Mucchielli confirme le nombre record de morts dans l’histoire de la vaccination avec la campagne anti-covid

                              Retrouver son article ici, sur blog de Réinfo Covid. Ci-dessous, ma prise de notes

                              Prise de notes
                              Les pro de la vaccination de masse (gouvernement, médias mainstream (Le Monde, Mediapart, Libération, France Culture et intellectuels de plateaux tv, etc.) s’appuient sur deux arguments pour contester la déclaration des effets indésirables de la pharmacovigilance :
                              1° l’« imputabilité » (l’absence de preuve du rapport de cause à effet)
                              2° la « mortalité attendue »
                              Ils en concluent : les antivax s’alarment à tort, tout va bien.
                              Mais devant le confort d’un écran d’ordinateur, c’est-à-dire, sans examen des faits, les notions d’imputabilité et de mortalité attendue peuvent être discutées sans fin. Cela s’appelle la ratiocination.
                              Toutefois :
                              > Pour les victimes, il s’agit de savoir affronter des effets parfois graves dans un contexte général de déni.
                              > Et pour les soignants, il s’agit de savoir comment catégoriser et enregistrer ces effets apparus le plus souvent dans les 48h après la vaccination.

                              L’imputabilité
                              Il est très difficile de déterminer la cause exacte d’un effet indésirable grave lorsque le malade présente (ou présentait s’il est décédé) des comorbidités importantes, ou lorsque son dossier médical est insuffisamment connu. De plus, en matière de mortalité, la preuve ultime de l’imputabilité ne peut pas être fournie (on ne meurt qu’une fois)
                              > Il n’en reste pas moins que les déclarations d’effets indésirables dépassent des records, il faut interpréter les chiffres et non les cacher.
                              La « mortalité attendue »
                              L’argument utilisé par nos savants : il est normal que des gens meurent à tout âge, vaccinés ou pas, et donc qu’il n’y a pas lieu de s’interroger sur les décès.
                              > Mais aucun des utilisateurs de cet argument n’enquête sur les raisons de cette mortalité. En quoi le fait que des gens meurent d’un cancer invalide-t-il l’examen des causes de la mort (causes premières et secondaires) dans les heures qui suivent une injection (surtout sous AMM conditionnelle) ?

                              Graphique de la pharmacovigilance américaine (VAERS) : Effets indésirables associés aux vaccins depuis 1990(Figure 1)

                              Au 30 juillet, sur 6 mois, le total des décès associés aux 4 vaccins s’élève à 6183 (contre 10 672 sur 31 ans) soit près de 58% du total de la mortalité enregistré par la VAERS
                              Ce sont des effets qui ont été constatés principalement dans les 7 jours suivant immédiatement l’injection (Figure 2).

                              Décès, invalidités permanentes et hospitalisations
                              Avec les décès, on compte également des invalidités graves (près de 7 000 fin juillet), des morts fœtales (près de 300) et des hospitalisations (près de 28 000). Tableau 1 ci-dessous

                              L’âge des victimes
                              On observe que les décès et invalidités permanentes sont concentrés aux âges les plus avancés, c’est-à-dire sur les personnes les plus fragiles (ce qui est logique en soi).
                              > 63% des cas concernent ainsi les personnes âgées de plus de 60 ans.
                              > Toutefois, un quart des cas concernent les personnes âgées de 40 à 59 ans,
                              > et près de 12% des cas concernent de jeunes adultes (18-39 ans).

                              Comparaison avec la grippe saisonnière
                              Sur la même période, les vaccins contre la grippe sont associés à 1 106 décès
                              > soit 6,66% du total de la mortalité vaccinale globale, contre 58% pour la vaccination anti-covid. Elle a donc tué 9 fois plus de personnes en 6 mois que la vaccination anti-grippe en 31 ans.
                              > Sur les 4 dernières années, on compte 1 décès pour 3,3 millions d’injections contre la grippe.
                              Pour la covid, cela revient à 1 décès pour 27 000 injections.

                              La pharmacovigilance suisse confirment l’alerte (Swissmedic).
                              Fin juillet, en moins de 7 mois, les vaccins ARNm contre la Covid-19 sont donc associés à 147 fois plus de décès que ceux cumulés sur 9ans (!) dus au vaccin contre la grippe. Tableau ci-dessous.


                              Source du tableau : blog de l’économiste Liliane Held-Khawam


                              Concluons.

                              L’examen des données disponibles suggère clairement qu’une mortalité vaccinale inédite est en train de se développer partout en Occident, en lien avec l’usage des nouveaux vaccins anti-covid. Le débat est ouvert sur l’interprétation, mais le fait est là. Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocere), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait donc conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale, à étudier beaucoup plus en détail les données de cette pharmacovigilance
                              Au terme d’une analyse bénéfices/risques méticuleuse, il s’agit de déterminer à quelles catégories bien précises de la population, il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets secondaires graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle est censée les protéger.
                              Par cet article, comme par le précédent, nous appelons donc solennellement les gouvernements des pays occidentaux à suspendre immédiatement cette campagne vaccinale afin que, dans le cadre d’enquêtes parlementaires, des comités scientifiques et médicaux indépendants du pouvoir exécutif puissent analyser les données de pharmacovigilance dont nous disposons à l’échelle mondiale et les exposer à l’ensemble des citoyens en toute transparence.

                              Note : La « rareté » est une notion bien vague.
                              Est-ce 1 pour 1 000 ? Un pour 10 000 ? S’agissant de la plus grande opération de vaccination de toute l’histoire, la question est importante aussi bien sur le plan scientifique que sur celui de la santé publique (et de son éthique). De ce dernier point de vue, nous avons vu (cet article et le précédent) que, dans les pays occidentaux, la mortalité vaccinale présumée des nouveaux vaccins anti-covid est probablement de l’ordre de 1 décès pour 30 000 vaccinations intégrales.
                              > Pour 30 millions de vaccinations, cela fait donc 1 000 décès.
                              > Pour 300 millions, 10 000 décès. Etcetera. Est-ce assumable éthiquement ?
                              Par ailleurs, sur le plan scientifique, la question est également importante. En effet, indépendamment même de toute autre question méthodologique (transparence des protocoles, représentativité de l’échantillon, sincérité des analyses, etc.), les essais cliniques des industriels ont porté sur des populations de 30 000 (Moderna) à 44 000 personnes (Pfizer), ce qui peut paraître important vu de loin. En réalité, divisé en deux groupes (un groupe vacciné, un groupe placebo),
                              > cela donne des populations vaccinées d’environ 15 000 à 22 000 personnes. De sorte que des effets indésirables très graves (a fortiori mortels) survenant dans 1 cas sur 30 000 peuvent ne jamais y avoir été constatés.

                              L’original de l’article de Laurent Mucchielli est ici, sur blog de Réinfo Covid.
                              Conseil Scientifique Indépendant. Le premier bilan vidéo de Laurent Mucchielli sur la mortalité liée à la vaccination. Juillet 2021 est ici.
                              L’analyse de Boris de la censure de Mediapart de l’article de Laurent Mucchielli est ici.
                              Retrouvez les articles de Laurent Mucchielli sur son blog, cliquer ici.

                              #6071
                              René Guichardan
                              Maître des clés
                                On meurt moins de la Covid en 2021 qu’en 2020. La mortalité est moins élevée qu’en 2019, avant la Covid)

                                Schéma de l’Insee commenté dans la dernière vidéo du Pr. Raoult. Voir se vidéo ici

                                Ma prise de notes
                                Le Pr. Raoult mentionne l’article de Science (lien ici) qui indique que 60% des hospitalisés sont doublement vaccinés. 87% ont plus de 60 ans.

                                – La question de l’obligation vaccinale pose problème d’après les données actuelles, elles ne permettent pas d’affirmer que la vaccination de masse soit un avantage, une solution.
                                Elle est éventuellement intéressante que pour les sujets à risques (âgés et avec des comorbidités)

                                – Pas du surmortalité pour les moins de 49 ans
                                – Légère surmotalité pour les 50 – 64 ans
                                – Plus importante pour les 65 – 85 ans
                                – Moins de mortalité en 2021 (variant Delta) qu’en 2020
                                – Le bilan total est plutôt inférieur à la mortalité de 2019
                                – Le variant Delta tue les mêmes catégories de personnes (les âges vulnérables), mais il tue moins, et il est plus contagieux.

                                Faut-il une 3ème dose ?
                                – Pour les personnes vulnérables et vaccinées, avec un test simple, on peut estimer qui a besoin d’un vaccin.
                                – On observe que les personnes vulnérables et à risques de décès sont les mêmes qu’avec les variants passés, bien que le variant Delta soit moins létal.
                                – Les soignants au contact des patients covid doivent être protégés en raison de leur surexposition, mais pas nécessairement le personnel technique, les administratifs.

                                Questions : les gens meurent moins à l’hôpital (en Israël), mais est-ce dû au variant ou à la vaccination ? On ne peut pas le dire actuellement.

                                #6072
                                René
                                Maître des clés
                                  On meurt moins de la Covid en 2021 qu’en 2020, et la mortalité est moins élevée qu’en 2019 (donc avant la Covid)

                                  Schéma de l’Insee commenté dans la dernière vidéo du Pr. Raoult. Accès à sa vidéo ici

                                  Ma prise de notes
                                  Le Pr. Raoult mentionne l’article de Science (lien ici) qui indique que 60% des hospitalisés sont doublement vaccinés, dont 87% ont plus de 60 ans.
                                  – La question de l’obligation vaccinale pose problème d’après les données actuelles, elles ne permettent pas d’affirmer que la vaccination de masse soit un avantage, une solution.
                                  Le vaccin est éventuellement intéressant que pour les sujets à risques (âgés et avec des comorbidités)

                                  – Pas du surmortalité pour les moins de 49 ans
                                  – Légère surmotalité pour les 50 – 64 ans
                                  – Plus importante pour les 65 – 85 ans
                                  – Moins de mortalité en 2021 (variant Delta) qu’en 2020
                                  – Le bilan total est plutôt inférieur à la mortalité de 2019
                                  – Le variant Delta tue les mêmes catégories de personnes (les âges vulnérables), mais il tue moins, et il est plus contagieux.

                                  Faut-il une 3ème dose ?
                                  – Pour les personnes vulnérables et vaccinées, avec un test simple, on peut estimer qui a besoin d’un vaccin.
                                  – On observe que les personnes vulnérables et à risque de décès sont les mêmes qu’avec les variants passés, bien que le variant Delta soit moins létal.
                                  – Les soignants au contact des patients covid doivent être protégés en raison de leur surexposition, mais pas nécessairement le personnel technique, les administratifs.

                                  Questions : les gens meurent moins à l’hôpital (en Israël), mais est-ce dû au variant ou à la vaccination ? On ne peut pas le dire actuellement.

                                  > En résumé, les questions qui se posent (à mon avis) :
                                  1° Jusqu’à quel point le vaccin protège-t-il les personnes âgées ?
                                  2° Jusqu’à quel point protège-t-il contre les formes graves de la maladie ?
                                  > Pour l’instant, d’après les données et l’ensemble des recherches effectuées, on ne peut vraiment rien affirmer.
                                  3° Question relevant de l’organisation de la recherche clinique en général : a-t-on examiné des personnes également âgées et vulnérables à des charges virales comparables entre elles pour en mesurer les effets ?

                                  > Ma réponse à la dernière question: non, cet examen clinique n’est pas réalisé, et pour essentiellement trois raisons:
                                  1° Les cohortes n’existent pas et elles sont difficiles, voire impossibles, à réaliser.
                                  2° Pour compenser l’absence de cohorte, il faudrait avoir recours à de grands nombres de patients et à des coopérations sur le plan national et international. Mais ce type de coopération semble ne retenir l’attention de personne (groupe pharmaceutique, gouvernement, industrie, banque, etc,) , ce qui, dans un monde basé sur l’esprit de compétition, la rivalité et la méritocratie va de soi.
                                  3° Enfin, la médecine s’intéresse peu à l’individu, à l’immunité naturelle et spécifique de chacun. Elle s’adresse au plus grand nombre et selon des rapports de quantité, plutôt que de qualité.

                                  Une dernière question qui risque d’être problématique :
                                  Le vaccin ARN semble stimuler la production de variants résistants. En effet, il cible une protéine spécifique, la fameuse Spike, mais que le virus peut contourner facilement. De l’autre côté, l’immunité naturelle se renforce de façon beaucoup plus efficace et durable si on accompagne sa lutte contre le virus (exercices physiques, grand air, bonne alimentation, joie de vivre et, si maladie, un traitement dont l’agressivité est adaptée en fonction des résistances immunologiques du sujet). Dans ces conditions, il n’est pas exclu de penser que la valeur « bénéfice / risque » des campagnes de vaccination de masse est en défaveur du collectif, puisqu’elles génèrent toujours plus de variants. Ainsi, l’ironie voudrait que ceux qui se vaccinent deviennent ceux qui sont dangereux pour la société, de s’être laissé ainsi influencer par les stratégies des gouvernements et des pharmas.
                                  Cette hypothèse peut reposer sur l’argument des ADE (Antibody Dependant Enhancement ou Aggravation de l’Infection par les Anticorps). Référence vidéo ici d’Hélène Banoun (biologiste pharmacienne) ou article ici, de l’association Aimsib)

                                  – Qui est là pour lancer les recherches de grandes ampleurs pour une meilleure santé de l’être humain ?
                                  – Autre question : peut-on donner un avis philosophique sur la gestion de la covid si les faits sont occultés, présentés de manières trop polémiques sur les chaines d’infos continues et de façon univoque sur les mainstreams (France Culture, le Monde, Marianne, Médiapart, Libération, etc. ?)

                                  Pour rappel, les chiffres du tableau de bord du monde (d’après un schéma de l’Insee) ci-dessous

                                15 sujets de 1 à 15 (sur un total de 15)
                                • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.