Analyse de l’essai Pfizer par Dr. Youngblood devant un conseil d’élus. Remarquable et efficace.

[René]

La présentation de l’essai Pfizer du Dr Youngblood devant un conseil d’élus à San Diego

Retrouvez sa vidéo ici (durée 7mn)

Ma prise de notes
Déclaration du Dr. Youngblood
– Je suis ici pour défendre la science et l’autonomie des patients.
– Pfizer a évalué 44 000 patients dans un essai randomisé sur 2 groupes égaux à tous les égards, et sur une durée de 6 mois. L’un des groupes a reçu le vaccin, l’autre, le placebo. C’est la bonne méthodologie.

Résultats
– On note un taux plus faible d’infection symptomatique durant les 6 mois de l’étude.
– 95% d’efficacité contre les effets graves du Covid.
– Un seul cas d’infection trouvé dans le groupe des vaccinés, contre 30 dans le groupe placebo.
>> Il a été fait une large publicité de ces effets dans les médias et par les gouvernements.
En revanche, les effets indésirables n’ont pas été du tout évoqués, or ils comptent tout autant pour faire la pesée des avantages et des risques liés à l’injection.

Tableau des effets secondaires de l’essai Pfizer

On peut constater que les effets secondaires graves et non graves sont :
1° deux fois plus élevés dans le groupe des vaccinés,
2° quatre fois plus nombreux à être directement liés à l’injection,
3° les effets graves, à eux seuls, sont 2 fois plus élevés que dans le groupe placebo (hospitalisation, crises cardiaques, AVC, myopéricardique, syndrome Guillain-Barré, etc.

Ces chiffres sont très significatifs statistiquement. Mais le principal indicateur se rapporte à la non-réduction de la mortalité entre les groupes vaccinés et non vaccinés. Tableau ci-dessous :

En bref, les discussions sur les causes directes ou pas de décès du vaccin sont vaines (discussion sans fin). Il suffit de faire le total des morts après 6 mois d’essai.
> 20 décédés parmi les vaccinés.
> 14 chez les placébos.
On meurt davantage dans les groupes vaccinés.

De plus, les personnes « placébos » pouvaient changer de groupe et passer dans celui des « vaccinés », si elles souhaitaient être vaccinées au cours de l’essai. 5 personnes sont mortes après avoir fait ce choix.
> En conclusion, les chiffres de la mortalité ne sont pas statistiquement significatifs. Mais ils ne permettent en aucun cas d’affirmer que le vaccin sauve des vies.
Mais, c’est moi qui rajoute, ce n’est pas pour sauver des vies que le vaccin est vendu, mais pour réduire le risque de faire une forme grave de la maladie. Pfizer ne pourra pas être convaincu de mensonge, tout était dans les papiers. Pfizer a voulu vendre son traitement, et les gouvernements voulaient absolument l’acheter .

Question : si le virus empêche les infections sévères, pourquoi n’a-t-il pas sauvé des vies ?

Une réponse : En n’observant les effets du vaccin que par rapport à la Covid, on en n’oublie ses effets adverses et les morts qui peuvent lui être associés.
En conclusion : les risques associés à ce vaccin annulent tous les avantages attendus par rapport à la maladie, et il n’y aucun bénéfice par rapport au taux de mortalité.

Une explication biologique
La protéine Spike, que le vaccin aide à fabriquer en donnant à nos cellules le plan, est une toxine. Elle se lie aux récepteurs ACE2, qui sont essentiels pour réguler la pression sanguine, la coagulation, le système immunitaire. Avoir des Spikes dans le corps, c’est un problème, non une solution.

Autre élément à prendre en considération, d’après les données de la VAERS (l’équivalent de la Santé Publique France) :
– On compte 158 décès par an associés aux vaccins (tout type).
– On en compte 17 000 depuis le début de l’année avec les vaccins anti covid.
– Et 40% des décès surviennent dans les 48 heures qui suivent l’injection.
– Les taux de mortalité reviennent à la normale seulement après les 40 jours qui suivent l’infection.

Dernier tableau : Taiwan a mené son propre essai pour comparer les taux de mortalité.

L’absence d’avantage par rapport au taux de mortalité suffit à invalider la préconisation du vaccin.
Retrouvez la vidéo du Dr. Youngblood ici (durée 7mn).

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René Guichardan, café philo d’Annemasse.
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