« Le variant Delta tue les vaccinés plus que les non-vaccinés, en Angleterre » Martin Zizi

[René]

Médecin, ex-chercheur en biologie moléculaire, physicien, informaticien, ex-conseiller du ministre de la défense Belge,
le Dr. Martin Zizi analyse les chiffres de Santé Public Angleterre.

Retrouver la vidéo du débriefing ici, sur France Soir

Ma prise de notes
– Les tests PCR ne permettent pas de mesurer l’incidence de la maladie en raison du trop grand nombre d’asymptomatiques parmi les positifs, du nombre de faux positifs et du nombre de tests réalisés qui est relatif aux campagnes de tests, aux incitations à se faire tester ou pas.
– Le variant Delta est nettement plus contagieux que le précédent, Alpha.
– Or, le variant Delta (2021) tue 10 fois moins que l’Alpha.
– Les chiffres montrent que les vaccinés meurent davantage que les non-vaccinés. Mais comment comprendre ses chiffres ?
Quelle est la part qui revient au vaccin (à son efficacité), aux nombres de personnes vaccinées, à la prise en charge hospitalière, à la typologie des personnes vaccinées ? Ces quatre facteurs sont déterminants pour interpréter les chiffres.
– Par ailleurs, le taux de létalité de cette infection, d’après le tableau de l’OMS concernent essentiellement les personnes âgées.

On peut raisonnablement supposer que les données seront, somme toute, équivalentes pour la France.
En l’état actuel de la situation, les chiffres officiels posent trop de questions par rapport aux mesures autoritaristes du gouvernement, qui par ailleurs, prend ses décisions sous le secret défense (en France en tous les cas). Autrement dit, les raisons motivant les décisions prises ne seront pas rendues publiques avant 50 ans minimum, tout cela pour le bien-être de la population. Tandis que la fermeture des lits d’hôpitaux n’a marqué aucun ralentissement depuis le début de la crise covid.

Ø La question du vaccin ARN.
Il y a 2 problèmes :
> N°1. Le vaccin ARN donne à nos cellules le plan de fabrique de la protéïne Spike. Or, ce vaccin ne peut déterminer la dose de Spike que le corps va fabriquer, il permet seulement de fabriquer la protéine, non de la quantifier. Car la quantification dépend du système immunitaire de chacun.
> D’où une grande diversité de réaction face à la vaccination. Selon la typologie de notre système immunitaire (et qui n’a pas été testée lors des essais), on fabrique une quantité de Spike qui n’est pas standardisée, ni contrôlable.
> N°2. Or, une fois la cellule infectée par la protéine du vaccin, elle doit en sortir. Mais là encore, de nombreux facteurs interviennent. Cela dépend des sucres, des graisses et toutes les protéines Spike peuvent ne pas vouloir sortir. C’est ce qui va confondre le système immunitaire qui peut s’emballer, car il voit des protéines Spike partout (à la surface des cellules et à l’intérieur). C’est l’un des effets « facilitant » (de la contamination) du vaccin. Ce phénomène est connu, il a été observé avec le vaccin de la dengue. (Voir : ADE – Antibody-dependant enhancement = facilitation de l’infection par des anticorps)

Explication : Le système immunitaire réagit à la protéine Spike qui, après sa fabrication, revient à la surface de la cellule (ce qui est normal). Mais, s’il en existe aussi dans les cellules (ce qui n’est pas normal et n’a pas été contrôlé lors de la création du vaccin), le système immunitaire va s’emballer, d’où les problèmes de myocardique… Par ailleurs, les cellules spikes peuvent affecter le cerveau, les reins et tous les organes concernés par le système rénine-angio-tensine.

Mes questions : on sait la sous notification des effets secondaires (voir ici le tableau comparatif des déclarations en Europe) et, par ailleurs, on sait aussi le nombre record de morts aux USA dans les 3 semaines qui suivent l’injection (voir ici le tableau de la VAERS.
Sur quelle base sont calculés les facteurs de risques de ce vaccin ? Sachant que les comptes ne sont pas rendus transparents par les autorités, sachant également que les atteintes à la liberté sont sans précédent (confinement, pass, obligation à peine déguisée de se faire vacciner, discours anxiogène et faible mortalité, syndémie, plutôt que pandémie + conséquences sur les enfants, la santé publique par rapport aux autres pathologies, l’économie, etc…)
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René Guichardan, café philo d’Annemasse.
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