Semaine 4 mars 2022. La déontologie de la statistique et le concept (Pierre Leco). Tribune vaccin + mortalité toute cause.

[René]

Référence tirée de la vidéo de Pierre Leco à propos des statistiques.

Lien vers la vidéo : La dictature du camp du bien. (Durée 10mn)

En résumé :
Pierre Lecot répond à un contradicteur sur l’usage de la statistique, et dénonce le fake d’un fake.
On sait qu’il en a été largement fait usage durant la pandémie et, selon le slogan du gouvernement : “on peut discuter de tout sauf des chiffres”.
Or les statistiques ne sont pas des faits, mais des chiffres, ils ne sont qu’un reflet de ce qui est compté.
De fait, compter des “choses”, c’est avant tout “conceptualiser” la chose que l’on compte, c’est-à-dire, la subsumer sous une catégorie, (la rapporter à cette catégorie) et définir que cette chose appartenant à cette catégorie, en partage de mêmes caractéristiques. Subsumer = Penser le particulier sous le général (un individu sous une espèce, une espèce sous un genre); considérer un fait comme compris sous une loi. (Dans Cnrtl)
C’est ainsi que l’on a compté des “positifs”, en laissant penser qu’ils étaient “symptômatiques” et/ou contagieux, sans égard à des catégories d’âge, à la valeur des tests, à la gravité des symptômes et que des décisions de santé publiques ont été prises sur ces considérations, sans qu’elles n’aient jamais été “corrigées”, mises à jour, réévaluées… alors que les recherches et les observations permettaient de mieux comprendre chaque jour que la terre comptait, la maladie.

Dans cette vidéo, un extrait de Céline Pigalle (directrice de Bfmtv) témoigne du fait qu’elle essayait de ne pas troubler les gens, et de ne pas aller à rebours de la parole officielle (celle du gouvernement). En bref, cet un aveu de la chaine d’information qui se fait l’écho de la parole du gouvernement qui, certainement, détient la vérité, la dicte et décide des comportements que doivent adopter les citoyens (mais aussi la possibilité de se réunir, de faire commerce, d’aller à l’école, de voir sa famille et ses partents…)

Schéma ci-dessous inspiré de l’article : La déontologie des statisticiens, pdf ici.

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Sujet suivant, la surmortalité et la vaccination.

Schéma de la surmortalité comparée en Allemagne pour les années 2020-2021

Dans quasiment tous les pays qui ont massivement vacciné, on constate des pics de mortalité qui accompagnent les pics de vaccination. Mais il peut y avoir différentes causes à ses pics. Et nous le savons, un rapport de corrélation n’est pas un rapport de cause à effet (de cause efficiente selon Aristote). C’est pour cette raison qu’il convient que le gouvernement rende public les chiffres de la mortalité toute cause avec le statut vaccinal des personnes. Mais il s’y refuse.
A cette fin, une tribune, qui a été signée par plus de 600 universitaires, professionnels de la santé et du droit, interpelle le Sénat (voir ici)
Illustration ci-dessous.

Extrait de la tribune :
(…) “conformément aux critères de recevabilité établis par le Sénat, le Dr Laurent Toubiana a déposé le 19 février 2022 une seconde pétition réclamant que le Sénat fasse procéder à une analyse de la mortalité toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal des personnes. Les données existent dans Système National des Données de Santé (SNDS) qui permet de connaître l’âge et le sexe des personnes, les dates d’injection des « vaccins anti-covid » ainsi que les marques et les numéros de lots de vaccins utilisés, les dates d’injections de vaccins antigrippaux (pour bénéficier d’un référentiel de comparaison) et enfin la date des éventuels décès des personnes. Ces données doivent permettre de déterminer précisément la mortalité des personnes vaccinées et non-vaccinées par tranche d’âge et par période, de constater s’il existe ou non une relation entre la date de vaccination et la date de décès et enfin d’observer si les injections anti-Covid ont une spécificité ou non relativement aux injections antigrippales de ces dernières années.

Cette analyse des décès toutes causes confondues est cruciale au regard de l’objet de cette commission d’enquête. Or, la commission sénatoriale chargée de faire le tri dans les pétitions reçues a refusé cette demande de transparence sur les données, et l’a fait de surcroît sans en donner aucune justification. La motivation des décisions administratives constitue pourtant une obligation légale traduisant un droit essentiel des citoyens et une forme de protection contre l’arbitraire du pouvoir politique. C’est une exigence démocratique évidente. C’est pourquoi nous, universitaires, chercheurs, professionnels de santé et professionnels du droit, demandons d’urgence au Sénat de reconsidérer sa décision et d’assurer sur ce sujet la transparence totale sans laquelle il ne peut pas prétendre « répondre aux inquiétudes » des citoyens de ce pays comme il s’y est engagé.

Vous souhaitez soutenir cette tribune? Vous êtes chercheur, universitaire, soignant, juriste, artiste ou enseignant? Vous pouvez signer en envoyant un mail ici: tribune.liberte.expression@gmail.com
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Autre étude par rapport à cette surmotalité des jeunes liée à la vaccination, celle d’Israël, cliquer ici. Durée 30mn (juillet 2021). .
Illustration ci-dessous, les courbes en Israël de la vaccination et de la mortalité des jeunes.

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Dernier sujet :
“L’avènement de la médecine fondée sur les preuves était un changement de paradigme censé fournir une base scientifique solide à la médecine.” Le British Medical Journal avertit: la médecine basée sur les preuves est devenue une illusion pathétique et corrompue. Lien ici, vers la traduction googlisée.

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René Guichardan, café philo d’Annemasse.
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