Bonjour Batya et Merci pour votre intervention
Oui, nous nous étions bien sûr posé cette question : peut-on tolérer l’intolérable ? La réponse était Non ! Pour tout le monde . Mais surgit aussitôt la question suivante : comment définir l’intolérable (par exemple faut-il faire la guerre pour espérer empêcher la guerre? et là encore ça dépend des conditions : à la maison, dans notre voisinage ou plus loin). Et c’est sur cette définition de la limite acceptée, sinon acceptable que les gens ont des appréciations différentes même si dans un groupe humain homogène, un consensus semble s’établir naturellement. Je remarque à titre personnel que l’on voit souvent émerger une doctrine de l’indignation facile : on ne fait rien pour empêcher l’intolérable (et d’ailleurs pourrait-on ?) mais on s’indigne du plus profond de son fauteuil.
Voila ce que je retiens des pensées émises dans notre petit groupe. Mais comme je ne suis pas du tout sur d(être fidèle, je vais leur repose votre question la semaine prochaine lors de notre réunion mensuelle, même si nous nous somme actuellement sur un autre thème pas facile du tout : « l’Art et la Bonté » (et ce n’est pas une faute de frappe !)
Cordialement
Et a votre dispo pour continuer le débat
Bernard, pour « le jardin de la pensée »