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3 septembre 2021 à 19h38 en réponse à : Vaccination et pic de mortalité, un biais non perceptible, ici sont postés des news peu ou pas relayées dans les médias. #6071On meurt moins de la Covid en 2021 qu’en 2020. La mortalité est moins élevée qu’en 2019, avant la Covid)
Schéma de l’Insee commenté dans la dernière vidéo du Pr. Raoult. Voir se vidéo iciMa prise de notes
Le Pr. Raoult mentionne l’article de Science (lien ici) qui indique que 60% des hospitalisés sont doublement vaccinés. 87% ont plus de 60 ans.– La question de l’obligation vaccinale pose problème d’après les données actuelles, elles ne permettent pas d’affirmer que la vaccination de masse soit un avantage, une solution.
Elle est éventuellement intéressante que pour les sujets à risques (âgés et avec des comorbidités)– Pas du surmortalité pour les moins de 49 ans
– Légère surmotalité pour les 50 – 64 ans
– Plus importante pour les 65 – 85 ans
– Moins de mortalité en 2021 (variant Delta) qu’en 2020
– Le bilan total est plutôt inférieur à la mortalité de 2019
– Le variant Delta tue les mêmes catégories de personnes (les âges vulnérables), mais il tue moins, et il est plus contagieux.Faut-il une 3ème dose ?
– Pour les personnes vulnérables et vaccinées, avec un test simple, on peut estimer qui a besoin d’un vaccin.
– On observe que les personnes vulnérables et à risques de décès sont les mêmes qu’avec les variants passés, bien que le variant Delta soit moins létal.
– Les soignants au contact des patients covid doivent être protégés en raison de leur surexposition, mais pas nécessairement le personnel technique, les administratifs.Questions : les gens meurent moins à l’hôpital (en Israël), mais est-ce dû au variant ou à la vaccination ? On ne peut pas le dire actuellement.
7 février 2018 à 14h01 en réponse à : Rencontre n°8 du dimanche 4 février 2018. Café philo de la connaissance de soi + un regard critique. #5621Nous étions 5 personnes durant cet échange, dont une venait pour la première fois.
Mon enregistreur n’a pas fonctionné cette fois (plus de batterie) si bien que je me contenterai de faire non pas un compte-rendu, mais un retour réflexif.
J’ai moins bien structuré les étapes de notre rencontre cette fois. Par exemple, je n’ai pas posé la question : qu’est-ce que la connaissance de soi selon vous et je n’ai invité personne à évoquer un problème/une situation… En fait, j’ai invité chacun à se présenter simplement, et à réagir aux dires des uns et des autres. Si bien que beaucoup de « généralités » se sont exprimées (par exemple : il faut faire l’expérience de ses émotions), et il y a eu peu ou pas de témoignage personnel exprimant une difficulté personnelle/une interrogation.
On peut imaginer qu’une réunion se passe sans que personne ne souhaite exprimer une situation qui pose question, ou qui lui semble difficile à vivre, à comprendre. Mais dès lors, il est possible qu’il n’y ait pas de « travail sur soi » qui s’effectue : chacun se contentant d’exprimer son enthousiasme, les leçons que la vie lui a apprises, plutôt qu’il/elle ne cherche à les questionner, à s’en distancier. Les participants se contentant d’acquiescer, éventuellement de questionner, de demander des précisions… mais sans approfondir. Dans le meilleur des cas, ce type de séance ne se distinguera pas trop d’un café philo « normal » où l’on questionne les idées, les concepts, mais pas le sujet et la subjectivité qu’il/elle se construit. Or, à mon avis, un café philo de la connaissance de soi doit permettre un retour sur soi se rapportant à une ou deux situations/personnes dans le groupe.
Pour notre prochaine rencontre (en mars), nous reprendrons le rituel du questionnement premier :
– Qu’est-ce que, selon vous, la connaissance de soi ?
Ce tour de parole permet de situer une diversité de regards sur ce qu’est la connaissance de soi pour chacun. De plus, la réponse apportée permet de relier la vision qu’en a son auteur à ce qu’il/elle dira plus tard dans la séance, en particulier s’il/elle évoque une situation/problème particulier.
– Comment allez-vous ? Voulez-vous faire part d’un problème, d’une situation qui vous a posé problème ?
– Souhaitez-vous poser une question par rapport à ce problème ?
– Quelqu’un dans l’assemblée souhaite-elle/il réagir, approfondir à une intervention qu’elle/il a entendu ?
– En dernier lieu, et si nous nous sommes assurés qu’il n’y avait pas de problème/situation spécifique à traiter, on peut alors choisir un thème, une question plus générale, partir d’un conte ou autre.24 juin 2016 à 18h01 en réponse à : Savons-nous toujours ce que nous désirons ? (sujet du bac 2016), c’est notre sujet ce lundi 20.06.2016 + une ou deux idées retenues #5361Une ou deux idées retenues à la suite du débatDavantage que ce que nous pouvions savoir sur le désir, il était question de ce que le « désir » nous enseigne sur nous-mêmes.
– Comment le désir nous transforme par le fait même de le mettre en oeuvre.
– Parfois, il s’agit d’oublier ce que nous désirons, afin de se donner une liberté de désirer autrement, différemment.
– Par ailleurs, le désir serait toujours « symbolique » de quelque chose. De fait, moins le désir est « symbolisé » (bien traduit dans notre cerveau), plus il serait « primaire » (proche de la pulsion), et plus court, moins satisfaisant et peu transformateur serait-il de notre personne.8 décembre 2014 à 17h06 en réponse à : Mini compte-rendu de nos débats au Salon des Métiers de l’Humanitaire (29.11.2014) + deux cartes mentales #5144Par ailleurs, Humacoop, organisateur du colloque sur les Etats Généraux de l’Action Humanitaire, a rédigé une « Déclaration des Etats Généraux de l’Action Humanitaire Internationale d’Annemasse » dont je reproduis ci-dessous la première édition :
Déclaration des États Généraux de l’Action humanitaire internationale d’AnnemasseAnnemasse, le 28 novembre 2014
L’association Humacoop en partenariat avec la Cité de la Solidarité Internationale et soutenue par des acteurs associatifs et institutions a organisé les États Généraux de l’action humanitaire. Cet événement a été l’occasion de réunir des acteurs des pays du Sud, des représentants d’ONG et d’organisations internationales, ainsi que des journalistes, des universitaires, des élus locaux en charge de la coopération décentralisée pour une manifestation publique afin de décloisonner la réflexion des acteurs humanitaires et de croiser les regards sur les défis contemporains posés à la solidarité internationale.
Ce colloque a permis de remettre en perspectives les pratiques et les modalités d’intervention des acteurs humanitaires et également de faire le point sur les grands axes stratégiques et les prospectives des différents acteurs.
Les participants veulent initier un dialogue permanent entre les acteurs de l’action humanitaire internationale Nord-Sud.
Les acteurs réunis lors de ces deux journées recommandent de :
– Interroger les populations et ONG du Sud sur leur acceptation et leurs priorités vis-à-vis des interventions, au même titre que les actions de coopération décentralisée font participer les populations et sociétés civiles de leur territoire.
– Promouvoir l’égalité des rapports entre les ONG du Nord et les acteurs du Sud (ONG, société civile et Autorités locales) et renforcer la coopération et la complémentarité entre ONG nationales et internationales.
– Renouer avec le sens militant et engagé de l’action humanitaire afin de redonner un sens aux interventions.
– Faire reconnaître par les bailleurs les ONG du Sud, au même titre que celles du Nord, en tant qu’acteur central de l’action humanitaire et notamment en situation d’urgence.
– Sensibiliser les institutions internationales et les bailleurs de fonds à l’importance d’intervenir en amont sur le développement des secteurs/pays fragiles.
– Inscrire l’action humanitaire, bien souvent démarche de court terme, dans un contexte de durabilité.
– Analyser, évaluer et critiquer les actions humanitaires au même titre que les projets de développement.
– Mettre en œuvre des programmes durables et pérennes qui n’obéissent pas uniquement à la logique « projet » des bailleurs.
– Centrer les interventions de terrain sur une réponse efficace face aux vulnérabilités plutôt qu’axée sur la visibilité.
– Adopter des règles de coopération et d’éthique entre ONG nationales et internationales.
– Renforcer les programmes de transfert de capacités (formation d’agents de santé communautaire, infirmiers, etc.) pour permettre aux ONG du Sud de consolider leur expertise.8 décembre 2014 à 16h31 en réponse à : Mini compte-rendu de nos débats au Salon des Métiers de l’Humanitaire (29.11.2014) + deux cartes mentales #5143Le débat du dimanche a été en quelque sorte une suite du débat du samedi : Les civilisations sont-elles en rivalité entre elles ?Voici la carte mentale qui retrace le parcours des idées échangées/ Merci de cliquer sur le lien dans « Fichier attaché », si l’image n’était pas nette.
Lors de l’envoi d’un message par mail (lorsque René écrit aux membres par ex.), il y a apparition du caractère: ⏎ à la fin de chaque ligne ce qui rend la lecture du message difficile.
(Je précise que mon browser est Chrome)
Salut Fabien,
J’ai supprimé à la main de nombreuses petites flèches » ⏎ « , s’il en reste et si tu es dispo, joins-moi un « copier-coller » du message en question, je pourrai éventuellement le retrouver dans l’admin et le modifier.
Merci pour tout.
Très bon week end à toi.
René -
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